LaPlanète des Singes – Suprématie : Nouvelle affiche et bande annonce La Planète des Singes – Suprématie : Nouvelle affiche et bande annonce. 30 mars 2017 Christophe News Ciné 0. Elle viennent
Accueil/ AFFICHES / France LA PLANETE DES SINGES 200,00 € PLANET OF THE APES Film américain Franklin J. Schaffner , 1968 Charlton Heston, Kim Hunter, Roddy McDowall. Rupture de stock. Ajouter à la wishlist.
Vidéos& bande annonce : César et les Singes sont contraints de mener un combat dont ils ne veulent pas contre une armée d'Humains dirigée par un Colonel impitoyable. Les Singes connaissent des pertes considérables et César, avec Judy Greer, Andy Serkis, Woody Harrelson, Terry Notary.
LeSecret de la planète des singes, un film de Ted Post | Synopsis : Le gouvernement américain envoie l'astronaute John Brent dans l'espace, avec pour mission de retrouver Taylor et de le ramener sur Terre. Brent doit se poser en catastrophe sur une planète inconnue, où il découvre qu'il se trouve en l'an 3955. Il y rencontre Nova, qui porte la
Maisbon la planète des Dindons reconnaissons le ça le fait bof quand même. Le fillm m'a quand même surpris par moment et la direction scénaristique m'a conquis. CONCLUSION. Au final on ne va pas voir La planète des singes pour la réflexion, mais pour en prendre plein le mirettes et c'est le cas avec cette très bonne suite. Seul le
Situédix ans après le premier opus, L’Affrontement est la suite directe de La Planète des singes : Les Origines. Ce premier volet avait relancé une franchise, née de la plume du romancier français Pierre Boulle, initiée au cinéma, en 1968, avec Charlton Heston, sous la direction de Franklin J. Schaffner, et déjà repensée en 2000
News Michelle Ettlin. Craignant que le film soit interdit aux plus jeunes, les auteurs de «La planète des singes» ont pris la décision de couper une scène d'ébats sexuels entre un homme et un primate. Le réalisateur de ce remake dont la première version date de 1968, Tim Burton avait prévu une telle scène, mais ce sont ses
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La Planète des singes Planet of the Apes, est un film américain, inspiré du roman La Planète des singes de Pierre Boulle, réalisé par Tim Burton, sorti sur les écrans en 2001. Synopsis[] 2029. A bord de la station orbitale Obéron, des chimpanzés sont entraînés pour effectuer des missions dans l'espace. Lorsque l'un d'eux disparaît, le capitaine Leo Davidson, contre l'avis de ses supérieurs, part lui porter secours. Mais il est pris dans une tempête électro-magnétique qui lui fait perdre le contrôle de son appareil, et s'écrase sur la planète Ashlar en 5021, au beau milieu d'une forêt tropicale. Sur place, il est capturé avec d'autres humains par des singes très évolués et doués de la parole. Aidé de quelques rebelles et d'Ari, la fille d'un influent sénateur singe, Leo va tenter de rejoindre Obéron... Critique[] Quand on demande à Tim Burton s'il considère ce film comme un film personnel, il rit et répond immédiatement qu'il le considère bien à lui, et en effet quand on regarde le film, on est surpris des critiques de la presse et du public. Car, "La Planète Des Singes" de Tim Burton est un film plus que jamais "à la Burton", esthétique et politique, avant toute chose. Le chimpanzé héros du film se nomme Périclès, il deviendra le Dieu des singes dans le film. Périclès il n'existe en fait qu'un seul homme portant ce nom dans le dictionnaire, était un homme politique athénien qui créa de grandes réformes démocratiques participation de la 3ème classe, gratuité des spectacles..., mais devint peu à peu un tyran imposant une pression économique sur les autres pays et menant aux guerres. Périclès refusa alors peu à peu les droits civiques à tous les étrangers. Il mourut de la peste après avoir fait de son pays une nation riche en arts, prospère, mais belliqueuse et peu tolérante. En parlant de Périclès, on pense inévitablement aux Etats-Unis de 2001, ce pays riche qui fait pression sur les étrangers, et cette nation peu généreuse et conflictuelle. Burton parle de la nature fascisante de son pays derrière la richesse aveuglante. Il annonce aussi le déclin de cette nation faussement démocratique tournée vers le profit et la haine et pas assez vers l'humain et l'ouverture. Il parle de son époque, l'an 2001, mais sa référence à Périclès des millénaires plus tôt indique que rien n'a changé chez l'homme, il y a toujours les mêmes soucis, les mêmes tyrans, comme dans le 2001 de Stanley Kubrick, à qui Burton fait un clin d'œil en utilisant les décors blancs. "La Planète des Singes" de Burton est un film qui se déroule dans le futur, mais dont le futur est montré et annoncé comme le présent et comme le passé. L'acteur américain Charlon Heston fait partie de la distribution du film. Il jouait le héros du premier film sur la Planète des Singes 1968, normal de le retrouver là. Sauf que derrière ce clin d'œil - qui fait plaisir aux fans de l'acteur - se cache naturellement l'ironie de Burton qui transforme l'acteur, avec beaucoup de soin et de plaisir, en vieux singe haineux. Il ne le transforme pas tant que ça quand on sait à quel point Heston a la mentalité d'un primate, il est un extrémiste politique qui veut remettre au goût du jour les armes dans les foyers américains. Tim Burton fait tenir à Heston dans le film les mêmes propos que dans la vie, il y parle de sa haine des intrus, il y parle de guerre, d'élimination. Heston parle à son fils, général des singes joué ici par le diabolique Tim Roth. Il demande à son fils de briser l'icône religieux près de son lit. Celui-ci s'exécute et découvre que l'icône renfermait en fait... un revolver ! Une relique laissée par les hommes. Ce revolver inattendu dans le film fait l'effet d'une bombe à qui connaît ce cher Heston, à qui connaît les Etats-Unis. Les derniers mots de Heston avant de mourir sont assez explicites " Que les hommes soient maudits !" On ne peut pas être plus clair. Scène inoubliable qui passe comme une lettre à la poste, parfaitement ancrée dans la dramaturgie du film. Pourtant, Burton dit beaucoup dans cette scène. La fausseté de toute religion dissimule le revolver primitif, cette arme originelle. La guerre et la haine au cœur de l'icône. En parfait iconoclaste, Tim Burton brise l'icône de manière littérale et transcende sa propre nature de cinéaste "divertissant". La dernière scène du film est encore plus parlante de subversion politique. Impossible de l'oublier ! Le héros insipide du film en soi une description Burtonienne de l'américain moyen musclé, froid et patriotique monte les marches à Washington vers la statue de Lincoln pour se sentir chez lui, dans son pays, avec son Père protecteur comme icône religieux. Mais il découvre, avec horreur, à la place de la tête de Lincoln une tête de singe celle du fils de Heston. Image inédite de toute l'histoire du cinéma. Image incroyablement osée dans un pays si patriotique. Une image qui vaut tous les discours du monde. Le héros se retourne pétrifié et derrière lui une population le menace. Les flics ont tous des têtes de singes. La nation des Etats-Unis comme Tim Burton avait toujours rêvé de la montrer des primates au sens cru et littéral du terme. Tout cela passe encore une fois dans la dramaturgie du film, avec une simplicité déconcertante, et c'est ainsi diablement incisif et subversif. Lincoln, le héros absolu aux Etats-Unis, dont la statue a inspiré bon nombre de films, dont "Mr Smith goes to Washington" Franck Capra ou "Nixon" d'Oliver Stone récemment. Personne n'avait osé se moquer dans un film à ce point de l'image la plus respectée des Etats-Unis, ce héros toutes catégories de la nation la plus puissante du monde. Burton l'a fait car "La Planète des Singes", c'est sa planète et la notre, ni plus ni moins. Dans un entretien, Burton explique sa Planète des Singes " Il faut voir ce film comme appartenant à un ensemble, en essayant de le placer dans un contexte plus vaste. " Pas étonnant donc de voir son film démarrer avec la disparition du logo "20th Century Fox" dans le ciel étoilé. Des étoiles qui rappellent les étoiles du drapeau des Etats-Unis mais qui placent surtout le film dans une sphère universelle, plus globale. La société décrite dans le film est la Société - peu importe après tout le nom du pays. Des étoiles, on se rend compte peu à peu qu'il s'agissait de l'armure du méchant singe qui finit en statue à la place de Lincoln à la fin. Le logo devient étoiles et devient la guerre. Le logo, une fois encore détournée par Tim Burton, est une comparaison masquée. Burton montre que derrière le logo, l'icône, le primate règne. Il en est même ses particules fondamentales. Pourtant, en voyant le film, il est très difficile de voir ça car il y a la musique, il y a le style, la vitesse des plans, et les informations, qui font passer l'insulte subversive de Burton pour un simple générique divertissant. Là est le style même de Burton, une esthétique de l'éthique poétique. Car à n'en pas douter, sa patte est de bout en bout dans la Planète Des Singes. Pourquoi a-t-il voulu tourner ce film, c'est évident, Burton aime " tous les films qui comportent un monstre. De "King Kong" à la "Belle et la Bête", pour moi c'est toujours la même histoire qui me fascine et m'envoûte à chaque fois. " "La belle et la bête" devient dans ce film, la bête et le beau bête. La bête est cette singe subtile et amoureuse jouée par Helena Carter, elle aime le héros joué par Mark Whalberg. Zoophilie affichée entre les deux héros du film, qui vont de caresses en caresses et finissent par se faire un baiser sur la bouche mémorable. Alors que la blonde sexy type californienne du film sera obligée d'embrasser de force le héros car lui ne semble pas beaucoup attiré par sa blondeur nazie, préférant nettement les traits de la singe. Les images signées du chef opérateur français Philippe Rousselot Trop Belle pour Toi, L'Ours, Interview with a Vampire, La Reine Margot, etc sont remarquables de noirceur bleutée et il a su mettre en évidence le style Burton éclairant de manière somptueuse les spirales du décor, qui sont présentes partout, dans le cosmos, dans les écorchures béantes du vaisseau en ruine, dans les flammes nocturnes de l'armée de singe serpentant vers la guerre. Une milice dans la nuit rappelant presque tous les autres films de Tim Burton. On retrouve aussi dans ces plans l'imagerie américaine qu'affectionne Burton, il attaque ici le coucher de soleil dans le canyon, avec le héros en contrejour sur son cheval, la traversée du campement filmée à la John Ford, etc. Burton laisse son empreinte partout, dans une forêt brumeuse et hostile, rappelant son Sleppy Hollow, dans les costumes en latex, dans la souplesse des corps rigides, dans les réunions poétiques des contraires, dans la peur des monstres, dans les frontières découvertes et repoussées, dans l'amour des marginaux, dans le conflit des lumières très ensoleillées puis d'un coup crépusculaires. Bref, un film à la Tim Burton, qui ne singe aucun autre film ou artiste sans y mettre de l'ironie. Un film qui ne traite plus de la nullité d'Edward Wood Jr, mais clairement celle de George Bush Jr. Distribution[] Mark Wahlberg Le capitaine Leo Davidson Tim Roth Le général Thade Helena Bonham Carter Ari Michael Clarke Duncan Le colonel Attar Paul Giamatti Limbo Estella Warren Daena Cary-Hiroyuki Tagawa Krull David Warner Le sénateur Sandar Kris Kristofferson Karubi Erick Avari Tival Evan Parke Gunnar Luke Eberl Birn Glenn Shadix Le sénateur Nado Lisa Marie Nova Eileen Weisinger Leeta Anne Ramsey Le lieutenant Grace Alexander Chris Ellis Le commandant Karl Vasich Linda Harrison la femme dans le chariot Charlton Heston Le sénateur Zaïus, père de Thade Fiche technique[] Titre La Planète des singes Titre original Planet of the Apes Réalisation Tim Burton Scénario William Broyles Jr., Lawrence Konner et Mark Rosenthal d'après le roman de Pierre Boulle Production Richard D. Zanuck Musique Danny Elfman Montage John Gilbert Durée 119 minutes 1h59 Dates de sortie 27 juillet 2001 USA 22 août 2001 France Lien externe[] Retrouvez tous les détails techniques sur la fiche IMDB
Depuis les années 2000, des centaines de scientifiques tirent la sonnette d’alarme les activités humaines, en précipitant l’effondrement de la biodiversité, ont créé les conditions d’une épidémie de pandémies ». En 2019, le monde est frappé par un virus provenant d’un laboratoire en Chine et provoque une pandémie mondiale appelée Covid-19. Incendies, sécheresses, canicules, gel, tempêtes, précipitations intenses, érosion côtière, avalanches et fonte des glaciers s’intensifient avec le changement climatique. D’année en année, la température de la Terre augmente c’est le réchauffement climatique. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, car les activités de l’homme produisent une très grosse quantité de gaz à effet de serre, très polluants. Quel est le dénominateur commun de ces événements qui touchent notre Planète ? Le film La Planète des singes est l’adaptation au cinéma du célèbre roman éponyme de Pierre Boulle. Pierre Boulle, né le 20 février 1912 à Avignon et mort le 31 janvier 1994 à Paris 16ᵉ, est un écrivain français. Agent de la France libre en Asie du Sud-Est pendant la Seconde Guerre mondiale, il est l’auteur du Pont de la rivière Kwai et de La Planète des roman de science-fiction a été publié en janvier 1963 par l’écrivain. Succès commercial, il est rapidement traduit dans de nombreuses langues. Le mouvement littéraire de Pierre Boulle Le roman raconte l’histoire de trois hommes qui explorent une planète lointaine similaire à la Terre, où les grands singes sont les espèces dominantes et intelligentes, alors que l’humanité est réduite à l’état animal. Le narrateur, Ulysse Mérou, est capturé par les singes et se retrouve enfermé dans un laboratoire. Prouvant son intelligence aux singes, il aide ensuite les scientifiques simiens à découvrir les origines de leur civilisation. Satire de l’humanité, de la science et de la guerre, l’ouvrage aborde également les thèmes de l’instinct, de l’évolutionnisme et de la société humaine. La Planète des singes est l’un des romans les plus célèbres de Pierre Boulle et fait l’objet de plusieurs adaptations cinématographiques internationales. L’auteur est même contacté par les producteurs pour rédiger le scénario d’un des films. La Planète des singes, film Synopsis L’engin spatial américain Icare, parti en 1971 avec à son bord 4 membres d’équipage, traverse l’espace à une vitesse proche de la vitesse de la lumière. Au terme d’un voyage de 18 mois, le vaisseau s’écrase le 25 novembre 39782 sur une mystérieuse planète, au coeur d’une région désertique. Les 3 survivants du crash, le capitaine George Taylor et les lieutenants John Landon et Thomas Dodge, découvrent très vite que ce monde est peuplé d’hommes primitifs dominés par une race de singes évolués. Quand se déroule la Planète des singes ? Les premières images sont presque pastel, et donnent au film la luminosité des clichés d’antan, époque bénie du Kodachrome, et de ses couleurs argentiques. Charlton Heston, dans son vaisseau spatial, parlant de son voyage intersidéral, nous fait faire un bond de plus de 50 ans en arrière, le film étant sorti sur les écrans en avril 1968. Ce film a l’aube des années 70 marquera d’autant plus une génération, qu’alors les effets spéciaux, trucages ou images de synthèse que nous connaissons aujourd’hui, n’étaient pas encore de mise. Et La Planète des singes, fut avant tout un choc visuel , car des l’apparition à l’écran des singes, on est fasciné par ces personnages, mi hommes, mi animaux qui semblent dominer une autre espèce appelée elle même animal ? L’homme… L’apparition première des singes lors de la scène de chasse dans les champs de maïs, restera longtemps pour moi une vision traumatique, cauchemardesque et irréelle. Elle est pour l’époque d’une violence inouïe. Mais le film marquera surtout pour la qualité de ses maquillages et les masques de singes. Le maquillage extraordinaire de John Chambers Le film allait d’ailleurs devenir une référence en matière de maquillage et de trucages. Et on doit ce maquillage extraordinaire à John Chambers, qui a obtenu d’ailleurs un Oscar d’honneur en 1969. En effet, les visages des singes sont saisissants, ils sont tous joués par des acteurs en chair et en os, affublés de prothèses en latex, et l’on peut dire que l’effet est exceptionnel, je pense d’ailleurs avec le recul que c’est une des raisons de la réussite du film. Roddy McDowall alias Cornelius La trilogie de la planète des singes … Sans vouloir trop vous décevoir, l’occasion pour moi de revoir La Planète des Singes », première adaptation du roman de Pierre Boule, qui aura généré pour l’instant pas moins de neuf films et deux séries, fut de me dire que le film avait pris comme on dit un petit coup de vieux ».. n’oublions pas que le film a quand même 53 ans au compteur ! Même si les décors naturels sont splendides, les gros plans soudains sur les acteurs donnent parfois à ce film l’allure d’une série B ou d’un téléfilm. Le rythme est lent, les scènes d’action sont limitées et ne valent que par la présence physique de Charlton Heston…c’est marrant de le voir ainsi torse nu, j’ai toujours l’impression de voir Ben-Hur !? Quant à la mise en scène, elle est minimaliste, mais je pense que ce n’était pas la préoccupation principale du réalisateur Franklin L’essence de ce film est plus véhiculée dans ses messages assez forts pour l’époque, que dans l’action proprement dite. La Planète des singes, film de 1968 – Parabole Quand fut produit ce premier film, en 1968, les auteurs en ont fait une parabole sur le racisme qui rongeait les Etats-Unis et la peur de la menace nucléaire pendant la Guerre Froide. Lorsqu’on regarde le film aujourd’hui, la dénonciation du racisme est toujours d’actualité et la responsabilité de l’homme envers la planète, la nature et l’avenir de l’humanité encore plus, et c’est bien là l’intérêt principal du film. Le film est une satire de l’intolérance et du fanatisme religieux. Il aborde de manière métaphorique le mouvement afro-américain des droits civiques, la domination relative de l’homme sur la nature et la peur des conséquences d’un conflit nucléaire. Le film est très tôt vu comme une évocation du racisme, ainsi dès sa sortie l’artiste Sammy Davis, Jr. l’affirme publiquement en indiquant que c’est le meilleur film sur les relations entre blanc et noir que j’ai jamais vu ». La Planète des singes au box office Le film La Planète des singes fut un succès commercial avec 32 589 000 dollars de recettes en Amérique du Nord pour un budget de 5 800 000 dollars. Il est l’un des plus gros succès de l’année. En France avec 1 715 000 entrées, le film se classe en vingt-huitième position du box-office de l’année 1968 loin derrière 2001, l’Odyssée de l’espace 7e mais devant Barbarella 54e, les deux autres films de science-fiction de l’année. On est à l’aube d’une des premières franchises du cinéma bien avant Stars War. La trilogie de la Planète des singes par ordre de film Le succès de La Planète des singes engendrera également une saga de films composée de Le Secret de la Planète des singes Beneath the Planet of the Apes en 1970 Les Évadés de la Planète des singes Escape From the Planet of the Apes en 1971 La Conquête de la Planète des singes Conquest of the Planet of the Apes en 1972 La Bataille de la Planète des singes Battle for the Planet of the Apes en 1973, La Planète des singes Planet of the Apes en 2001 La Planète des singes Les Origines Rise of the Planet of the Apes en 2011 La Planète des singes L’Affrontement Dawn of the Planet of the Apes en 2014 La Planète des singes Suprématie War for the Planet of the Apes en 2017. Pour la télévision, la saga est également adaptée en série télévisée en 1974 et en série d’animation en 1975. Anecdote Durant la scène du tribunal, alors que Taylor explique d’où il vient, les trois juges adoptent la posture des singes de la sagesse. Maximus se couvre les yeux, le président se bouche les oreilles et Zaïus masque sa bouche. Cette allusion n’est pas prévue par le scénario. C’est le réalisateur Franklin Schaffner et l’acteur Charlton Heston qui en ont l’idée durant le tournage, d’abord pour s’amuser, puis ils la proposent aux producteurs qui acceptent de l’inclure. Épilogue Dont Look up, déni cosmique » Ou cela nous mènera t’il ? Taylor a la réponse au dernier plan mythique du film… Cette image culte doit nous faire réfléchir au sombre message laisse par son final peu importe ce qu’il affronte, l’homme restera toujours son pire ennemi, artisan annoncé de son propre anéantissement. Précisons au passage que ce dernier coup de théâtre un des premiers twists ? demeurera longtemps l’un des dénouements les plus mémorables de toute l’histoire du cinéma… je ne le dévoilerai pas pour les générations qui n’ont pas vu le film. Puisse enfin la re lecture de ce film nous faire réfléchir à ce que sera demain…car le constat est sans appel la destruction des écosystèmes par la déforestation, l’urbanisation, l’agriculture industrielle et la globalisation économique menace directement la santé planétaire. Et pour illustrer mes derniers propos et coller à l’actualité, je vous conseille de regarder le dernier film qui cartonne sur Netflix » Don’t Look Up, Déni cosmique , d’Adam McKay, qui avec plus 152 millions d’heures de visionnage pour 94 pays, fait un carton interstellaire. Et si le réchauffement climatique n’est pas toujours perçu par tous, attention de ne pas nous réveiller comme Taylor face à l’inéluctable. Hollywood ne s’y ait pas trompé dans ce dernier film, et l’Happy End traditionnel vous surprendra. Enfin on laissera le dernier mot à John Landis, célèbre réalisateur américain, et qui est fan de la saga de la Planète des Singes » Défiez vous de cette bête qu’est l’Homme… ».
affiche film la planete des singes