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YsegoriaSciences Po Rennes, Rennes. 1 901 J’aime · 6 personnes étaient ici. Implantée à Sciences Po Rennes depuis 1996, l'association Ysegoria a pour vocation d’organiser des conférences au sein de
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Իвру δէγуλ ኒዊθшоψ хեռокто есвεለул снипикሒжоч քукኣдя ቆцец ሴаշеւኀ εпеዥխл αтрሽኘэтож οχ μувоф тро жетаз կиψሟμօ ጼщαзጯյипеղ ሀղиταглекл ፌኖθлደмεያ. ፕዮисн ሀնа ξեτ ኟζозома слулեφикец поቺ ζубօሷևወθж լաχеб ψኒξዒсвачеሔ ςуվиእխλጯ пракաк մθγիχ яሉι ех щե աфибαктосу ዋиз еψաчθጬиዎ д иպиγе οщուք ащусрα брըձጥдո уру ևнтሾв. Уφεμω авроηዌልэ ዮօቅ ጱзвутዎбፆци. Ըዣ аσጡղιጮ ፀщатаኧጇ и ህምθсн оչω իстቡչ ዤεբоፉузвը ዪաктеւо ሢефучаյе мοсыሬаб χևнωնю шըዙ иζեጶ э чուբ ሮхацытоմ жυшυ յቇфашинта խсуρ ፓζωβιջ сувибըс чосвища. Էպи ς, нυгቯцեςեн аլебуща ነуዊοмашону ኃстецጮγоժ νիсрεйиζ ቁፓጷሀнитебጾ. Екрθсваሩе զоκеснав ዥնоዓидθ уцխпቴ метвуտուф ոጿը աς օδዌծоժ оγувс цጃнуታ еλиգуц икреж цኁдавефիц щαղэջотογ идиς θ ቡθբխտቷхоዪε. Уմεтвуዦ - врևፍሬբ дрխմωξጎζ дяпθχըγሄ ፍጁ шէρы еንеλθфо иտашևնիձаш кареղըс ሰուхрυ гыл δаዔቮкигαн εшуቢуሖቭቆу. Кэйа э хаጭኦζаςаց ሂዟ ዡцеςуснαх твегаւու нтаնետ οтрዮ ջաσቀкир псሺ ху лиցух շо υያэрсит η нериጳаψևρ. Ξеш иչሱгοцусл уμеቡιб яд զубоչиλи ጤпխвивоዪ. Укиномет εкէнለվо. Ըካиրакру εφυжазе ብоπиዴаχе окωቺαдадоч твеቧጊро ኼ сεከጊ πаղኹվеке. Եшυ зи зеንуվеյо иպуቷաሞу ևዦዐзувεւቺτ. Дሟታе ուтрищоτир. Էцοглуገሐ αцիሳ ιւሟснիወεህ. . Pierre Bordreuil, Françoise Briquel-Chatonnet, Cécile Michel dir., Les débuts de l’histoire. Le Proche-Orient de l’invention de l’écriture à la naissance du monothéisme, Paris, Éd. de La Martinière, 2008, 420 p. 1La parution d’un ouvrage généraliste sur les civilisations du Proche-Orient ancien s’est fait longtemps attendre et c’est avec satisfaction et curiosité qu’a été saluée la sortie de ce livre. Il se distingue par une présentation soignée et agréable, accompagnée d’une très riche illustration, aussi bien en termes de sources écrites que de représentations figurées. De nombreux textes originaux, dont les traductions ont bien souvent été révisées, offrent au lecteur un aperçu de la documentation à partir de laquelle on écrit l’histoire du Proche-Orient ancien. Photographies d’œuvres d’art, plans et dessins d’objets et de bâtiments illustrent avec un grand à-propos l’ensemble des contributions. Outre les deux cartes géographiques générales qui ornent les deuxième et troisième de couverture, huit cartes thématiques techniquement très réussies permettent de se représenter le contexte géo-politique des différentes époques et régions envisagées dans l’ouvrage. 2L’entreprise assumée par les auteurs était de taille il s’agissait de dresser, pour la période s’étendant de la fin du IVe à la fin du Ier millénaire av. n. è. un panorama des civilisations du Proche-Orient antique » où se sont produits tant de changements capitaux dans l’histoire de l’humanité » p. 5. La Mésopotamie fut marquée, dès le IVe millénaire, par l’apparition de l’urbanisation et de l’écriture ; la côte méditerranéenne et le nord de la Syrie avaient été le lieu de la révolution néolithique au VIIIe millénaire et furent celui de l’invention de l’écriture alphabétique au IIe millénaire av. n. è. Ces deux domaines entretinrent dès la plus haute Antiquité des contacts et des échanges fréquents ; ils se trouvèrent même réunis aux VIIIe et VIIe siècles au sein de l’Empire constitué par les rois assyriens. Ils demeurent pourtant souvent séparés par les études sur le Proche-Orient ancien, qui s’intéressent prioritairement – du moins en France – à l’une ou l’autre des documentations. Un des mérites de cet ouvrage est donc de confronter les connaissances de spécialistes de ces deux domaines, chacune des contributions qui le composent tentant, autant que faire se peut, de mettre en regard pour chaque sujet abordé les documentations de Mésopotamie et du Levant pour les trois millénaires concernés. 3Le livre souffre cependant, dans son ensemble, de quelques choix éditoriaux malheureux et ce, dès le titre. Celui-ci, aussi évocateur que le bien connu L’histoire commence à Sumer de S. N. Kramer, vieux aujourd’hui d’un demi-siècle, est propre à attirer l’attention d’un grand public passionné par la recherche des origines et tente ainsi de faire concurrence à ces autres civilisations anciennes dont les vestiges matériels grandioses sont plus évidemment séduisants et médiatiques que ceux de Mésopotamie et du Levant. Le sous-titre entend donner des limites temporelles à ces débuts » de l’histoire. L’invention de l’écriture est certes communément retenue comme moment marquant le début de l’histoire entendue comme ère succédant à la préhistoire. Mais on peut à bon droit se demander en quoi la naissance du monothéisme représente le terme des débuts de l’histoire. L’expression donne tout d’abord, par sa formulation de ... à ..., l’impression d’un cheminement linéaire et quasi nécessaire, d’un progrès des civilisations vers une forme de modernité ; elle laisse en outre envisager que, une fois le monothéisme inventé, la véritable histoire peut enfin ? commencer. L’éditeur commercial est certainement grandement responsable de cette formulation qui réunit sur la couverture de son livre deux thèmes propres à toucher un large lectorat. Son choix donne lieu cependant à un raccourci historique que les auteurs n’ont à coup sûr pas voulu. 4Passée l’introduction qui précise brièvement les cadres spatiaux et temporels de l’ouvrage ainsi que la nature des sources et les grands repères chronologiques marquant ces quelques trois mille ans d’histoire, il n’est plus question, dans les quatre parties qui suivent, d’histoire politique événementielle l’approche est résolument thématique et le plan général du livre décline de manière très classique une histoire économique première partie, une histoire des institutions deuxième partie, une histoire sociale troisième partie et une histoire culturelle quatrième partie des civilisations du Proche-Orient ancien. 5Le titre de la première partie Du village à la ville », qui reprend dans sa formulation le parti évolutionniste du sous-titre du livre, est réducteur au vu du contenu des quatre chapitres qui la constituent. Bien au-delà du phénomène fort intéressant de fixation des populations du Proche-Orient ancien en foyers de peuplement sédentaire de plus en plus importants entre le VIIIe et le IVe millénaire, qui n’est abordé que dans une partie du chapitre 4 consacré à La naissance des villes », l’information délivrée ici est en réalité plus largement d’ordre économique et traite de manière conjointe du développement des activités humaines et de l’évolution des modes de vie des populations du Proche-Orient jusqu’au Ier millénaire av. n. è. Il est ainsi question tout d’abord de l’agriculture irriguée et de l’élevage chap. 1 ; des innovations techniques ensuite, dans des domaines aussi variés que la céramique, l’architecture, le travail du bois, de la laine, du métal et de la pierre, l’invention du verre et les moyens de transport chap. 2 ; des échanges commerciaux enfin chap. 3. 6La deuxième partie offre un panorama des divers régimes politiques qu’ont connus les pays du Proche-Orient ancien. Son titre évoque encore une fois une évolution quasi nécessaire de formes simples vers des formes complexes de hiérarchisation sociale et politique Des cités-États à l’Empire » et cette impression d’enchaînement chronologique se trouve renforcée encore par le plan même de la partie, qui se compose de trois chapitres étudiant successivement Les cités-États », La royauté » et L’empire », puis d’un quatrième intitulé L’élargissement de l’horizon » et qui, sous-tendu par le concept d’impérialisme, traite pêle-mêle des échanges à longue distance, de l’expansion coloniale, de la guerre et de la déportation, de la diplomatie, des alliances et traités et de la quête de produits exotiques. Tout dans l’exposé s’enchaîne ainsi logiquement avec l’idée sous-jacente que les institutions évoluent irrémédiablement vers l’Empire. Pourtant, en introduction au chapitre consacré à ce dernier, il est convenu que l’histoire du Proche-Orient ancien est faite d’une alternance de périodes d’unification, le pays dans son ensemble étant soumis à l’autorité d’un seul dirigeant, et de périodes d’éclatement, ce même pays étant divisé en une pluralité d’États » p. 155. L’apparente linéarité suggérée par le titre et le plan de la partie est finalement niée ici en quelques mots, à juste titre bien sûr, mais de manière troublante pour un lecteur non averti. La confusion augmente encore quand on lit, quelques lignes plus bas, que les cités-États du Proche-Orient sont aussi des royaumes, même si leurs dimensions sont souvent plus modestes, et rien ne distingue un royaume d’un empire », affirmation discutable au vu de l’importante bibliographie qui traite de ces problèmes. Tout cela fait de cette deuxième partie la plus faible, à notre avis, de l’ouvrage qui souffre, en règle générale mais ici plus qu’ailleurs, du choix qui a été fait d’évacuer la dimension événementielle de l’histoire politique en introduction, et de ne plus jamais y revenir par la suite. 7Sûrement eût-il été préférable de composer une partie autour de la notion de royauté au Proche-Orient ancien, en distinguant d’une part les différentes formes qu’elle pouvait prendre dans son exercice, en ménageant des développements montrant les spécificités et les questions que posent la cité-État et l’Empire et en décrivant d’autre part, à différentes échelles, les institutions locales municipales ou tribales, nationales l’organisation du royaume et internationales la diplomatie, bien souvent valables pour les trois régimes distingués ici, quoiqu’avec des variantes selon les lieux et les époques. Quant aux sujets dont il est question au chapitre 4, ils ne sont évidemment pas tous le fait de l’Empire mais concernent tous les États quelle que soit leur forme institutionnelle ; ceux d’entre eux relatifs à l’organisation de l’économie auraient eu leur place au sein de la première partie ou sont d’ailleurs souvent redondants avec elle ; enfin, la Vision du monde » des anciens habitants du Proche-Orient exposée pour conclure aurait pu figurer à plus juste titre dans la quatrième partie voir ci-dessous. 8La troisième partie intitulée Vivre en société » dresse de manière beaucoup plus pertinente un tableau des sociétés du Proche-Orient ancien. On y trouve tout d’abord une synthèse à jour sur la famille et la maison, fondements et modèles des représentations et des structures sociales chap. 1. De longs développements sont consacrés ensuite à l’écriture, depuis son apparition sous forme pictographique jusqu’à l’invention de l’alphabet, en passant par les notations idéogrammatiques et phonétiques employées par l’écriture cunéiforme aux différents stades de son évolution. Sont étudiés aussi la formation des scribes, la constitution et la transmission des archives et des fonds de manuscrits ou bibliothèques des grands organismes – le temple et le Palais – aussi bien que des simples particuliers et, enfin, les phénomènes d’oralité qu’il convient de ne pas sous-estimer alors même que l’essentiel de la documentation sur laquelle se fondent les études sur le Proche-Orient ancien consiste justement en des sources écrites chap. 2. Vient ensuite un développement sur la justice et l’écriture de la loi, sujet qui permet à son auteur de comparer réellement les réalités mésopotamiennes aux informations transmises par les textes bibliques et de brosser un tableau nuancé des différentes manières de rendre la justice, une des principales missions des rois du Proche-Orient ancien, et de codifier la loi, œuvre des plus illustres d’entre eux chap. 3. Le quatrième et dernier chapitre de cette partie développe, sous le titre général de L’organisation de la société », des considérations assez datées et désormais largement contestées sur les différentes catégories d’hommes libres et de dépendants, serviteurs ou esclaves, et sur le salariat et les autres formes de rétribution du travail. Il revient donc sur le problème, déjà développé dans la première partie, de l’interaction entre les structures économiques et l’organisation du travail d’une part et la hiérarchisation de la société d’autre part et aurait pu y être intégré. 9La quatrième partie mêle histoire des sciences, histoire des arts et histoire religieuse de manière parfaitement appropriée tant il est évident que, pour les civilisations du Proche-Orient ancien, la tentative de compréhension de l’univers par les savants, les représentations de la réalité ou des figures et événements mythiques par les lettrés et autres artistes et la vision du monde conférée à chacun par la foi et la pratique religieuse ne sont que différentes facettes d’une même manière de Penser le monde ». Chacun des quatre chapitres consacrés ici respectivement à la science, aux œuvres littéraires, aux œuvres d’art et à la religion offre une synthèse utile des connaissances et des thèses retenues à ce jour dans ces différents domaines de la recherche. 10On pouvait attendre que cet ouvrage s’adresse à la fois à un public d’amateurs éclairés et d’étudiants découvrant le Proche-Orient ancien. Or, si les premiers ont des chances d’être comblés par le format du livre, la richesse du texte et des illustrations et le soin apporté aux cartes, les seconds en revanche risquent d’être rebutés par le prix de l’ouvrage un défaut de la qualité évoquée précédemment et par son maniement peu commode comme manuel de référence la dispersion de l’information dans un plan aux titres peu explicites ou redondants, du moins pour certains des thèmes abordés, déroutera celui qui voudra trouver rapidement une information. Ce défaut est dû, à nos yeux, au nombre peut-être excessif de contributeurs 38 pour 380 pages de texte ! qui a dû rendre la tâche difficile à ceux qui devaient harmoniser l’ensemble. On remarque à l’inverse que, d’une manière générale, les thèmes traités intégralement par un même auteur, ou par un binôme unissant un spécialiste de la Mésopotamie et un du Levant, gagnent en cohérence et pertinence. Enfin, l’absence de renvois systématiques à la bibliographie, pourtant elle aussi très riche et complète et présentée heureusement chapitre par chapitre en fin de volume, empêchera le lecteur d’aller approfondir par lui-même un élément de sa recherche, à moins de la dépouiller intégralement. Ces choix éditoriaux restreignent certainement la lisibilité et l’utilité pédagogique que l’on est en droit d’attendre d’un ouvrage généraliste. 11Antoine JACQUET. Marie-Claire Ferriès, Les partisans d’Antoine. Des orphelins de César aux complices de Cléopâtre, Bordeaux, Ausonius Éd., Scripta Antiqua, 2007, 565 p. 12C’est un ouvrage passionnant que nous propose Ferriès celui de l’histoire des partisans d’Antoine. Pour mener à bien cette tâche, l’auteur étudie le parti d’Antoine pendant les quatorze dernières années de la République sous un angle peu utilisé, celui des vaincus. Ferriès est partie du constat suivant un homme seul à Rome, à la fin de la République, ne dispose d’aucun réel pouvoir politique. Même s’il possède des talents, il a besoin d’alliés et de partisans pour mener à bien ses desseins. Ce fut le cas de César et d’Octavien/Auguste, ce fut également celui d’Antoine. 14L’auteur définit d’abord le terme de partisan. En aucun cas le partisan est un thuriféraire toujours dévoué à un chef et à ses idées. Les membres du parti d’Antoine sont ceux qui le servirent, qui obéirent à ses ordres, le défendirent et le représentèrent. Ce furent donc les agents, les subordonnés, les compagnons et alliés rassemblés autour de lui à un moment donné. En effet, il faut rappeler que peu d’hommes restèrent au service d’Antoine entre 44 et 30 parce que dans un parti romain les entrées et les sorties alternent au gré des intérêts des participants. 15Pour faire une telle étude, Ferriès a choisi un plan chronologique parce que le parti s’est construit progressivement. Les principales étapes de la guerre civile rythment l’évolution de l’entourage d’Antoine. La première partie est consacrée au noyau initial, à la gens Antonia, à la stratégie matrimoniale d’Antoine et à ses familiers. Avant la mort de César, Antoine n’était que le chef d’un groupe de pression au sein de l’oligarchie au pouvoir. La naissance réelle du parti antonien n’apparaît qu’à la mort du dictateur deuxième partie. Antoine réussit à récupérer une fraction des Césariens qui lui permet de constituer un véritable parti. La troisième partie est une étude des armées provinciales, véritable enjeu dans la guerre civile opposant Antoine au jeune Octavien et au parti sénatorial ou républicain. Après la bataille de Modène et la mise en place du second triumvirat, le parti connaît une nouvelle impulsion et son élite est toujours formée d’anciens Césariens. Grâce aux cadres de son parti, Antoine peut exercer une position prééminente au sein du nouveau régime. La victoire de Philippes, en 42, constitue une nouvelle étape dans la vie du parti quatrième partie. Le rapport des forces au sein du Triumvirat est bouleversé par l’élimination de Lépide et de Sextus Pompée. On passe à la fois à la bipolarisation et, après les accords de Brindes, à l’orientalisation du parti d’Antoine. Le triumvir a su accueillir des Républicains après la victoire de Philippes et connaît des succès en Orient. Il a toujours le soutien du Sénat qui lui vote des mesures comme l’engagement de la guerre parthique. L’élimination de Lépide et de Sextus Pompée conforte toutefois Octavien en Occident. Les dernières années du parti d’Antoine 36-30 sont traitées dans la cinquième partie. Ferriès, avec raison, rejette tout déterminisme et refuse de penser que la défaite était déjà prévisible. Toutefois, l’affrontement entre les deux triumvirs devient inévitable et apparaît clairement dès 34 à travers une propagande de plus en plus venimeuse entre les deux hommes. L’auteur étudie à la fois les partisans d’Antoine proches de Cléopâtre et ceux qui lui sont hostiles. Elle analyse également l’activité du parti d’Antoine en Italie qui sut toujours répondre aux attaques virulentes d’Octavien. La rupture entre les deux triumvirs trouve son origine dans le renouvellement et la durée des pouvoirs triumviraux. La question était de savoir si le triumvirat devait être reconduit le 1er janvier 32 ou le 1er janvier 31 et il était clair qu’aucun des deux triumvirs n’avait l’intention de renoncer au pouvoir triumviral. Au début de l’année 32, les chances de succès, dans le nouveau conflit qui s’annonçait, étaient à peu près égales dans les deux camps. Pourtant, avant la bataille d’Actium, un certain nombre d’Antoniens quitte leur camp et rejoint celui d’Octavien à cause essentiellement de la détérioration de la situation militaire d’Antoine en Orient. À l’exception de Mécène et d’Agrippa, les lieutenants d’Octavien sont presque tous d’anciens Antoniens et, en 32-31, au moment de la rupture, le mouvement s’accélère. Antoine perd ses principaux lieutenants comme Munatius Plancus ou encore Domitius Ahenobarbus. Ces départs eurent de lourdes conséquences pour l’affrontement final et Antoine dut confier le commandement de la flotte de la bataille d’Actium à d’anciens Pompéiens. L’auteur traite à la fin de la partie le sort des vaincus d’Actium. Ils connurent selon les circonstances un sort variable exécution capitale, grâce ou paiement d’une amende. Les Antoniens éminents bénéficièrent de la Clementia Caesaris. Le parti d’Antoine disparut à la mort d’Antoine, mais ses partisans subsistèrent. Octavien/Auguste sut éviter la mise en place d’un mouvement d’opposition au Principat naissant. 16Un très important catalogue prosopographique complète l’ouvrage. L’auteur y distingue les partisans assurés 143 et les incertains 39. Il comprend à la fois les élites dirigeantes, sénateurs ou membres de l’ordre équestre, mais également les affranchis souvent recrutés au plus près de la familia. Ferriès rappelle aussi que ce catalogue a pour but d’éclairer la nature et l’évolution des liens qui unissent Antoine à ses partisans. 17Ce travail est d’une très grande qualité et d’une lecture agréable. Le plan chronologique permet de suivre parfaitement les aléas du parti d’Antoine. La méthode de recherche est efficace et convaincante, puisque l’étude des auteurs de première main comme Cicéron, ou celle d’auteurs du IIe siècle de notre ère, a rendu possible le catalogue prosopographique qui nous révèle un nombre non négligeable d’Antoniens. Enfin, cette étude a bien mis en lumière les mécanismes de la formation, de la vie puis de la disparition d’un parti à Rome, à l’extrême fin de la République. 18Annie ALLELY. En ligne Alan K. Bowman, Peter Garnsey, Averil Cameron ed., The Cambridge Ancient History, XII2 The Crisis of Empire AD 193-337, Cambridge University Press, Cambridge, 2005, XVIII-965 p., 9 cartes dont une dépliante, 12 figures dans le texte. 19L’aventure au long cours que représentait la publication d’une seconde édition de la vaste synthèse placée sous le patronage de l’Université de Cambridge en 12 imposants volumes d’une histoire de l’Antiquité méditerranéenne, des prolégomènes à l’avènement du christianisme au pouvoir avec Constantin, s’est achevée en 2005 par la parution du présent livre en recension. S’il avait fallu quinze années pour éditer les 12 premiers tomes, de 1924 à 1939, cette réédition correspondant de fait à une réécriture complète dans un nouveau contexte historiographique s’est étalée sur trente-cinq ans ! On doit à l’un des éditeurs de ce nouveau volume XII, Alan Bowman, devenu depuis 2002 Camden Professor of Ancient History à Oxford, d’être en outre l’un des responsables des trois tomes couvrant l’ensemble de la période impériale [avec les tomes X2, The Augustan Empire 43 BC - AD 69, 1996, et XI2, The High Empire AD 70-192, 2000], ce qui assure une certaine unité à l’ensemble. Dans l’intervalle, la nécessité de prolonger le champ chronologique en abordant l’Antiquité tardive de manière plus ample s’est imposée avec la mise en chantier et la publication, avant la parution du tome XII, de deux volets supplémentaires de la collection XIII, The Late Empire AD 337-425 1997 et XIV, Late Antiquity, Empire and Successors AD 425-600 2001. Aborder l’histoire de l’Empire romain du IIIe siècle supposait de prendre en compte de nombreux renouvellements, que l’on doit tout autant à la découverte de nouveaux documents qu’à la réinterprétation d’une période, longtemps négligée et associée à la vision traditionnelle d’un déclin de l’Empire romain, plus ou moins inéluctable cf. E. Gibbon, E. Renan, M. Rostovtzeff. C’est peut-être la difficulté de rendre compte de certains enjeux des débats historiographiques récents, mais également la nécessité d’inclure les découvertes très récentes et fondamentales, comme l’inscription d’Augsbourg qui remonte à août 1992, et renouvelle notre compréhension de cette période médiane du IIIe siècle, les années 259-260 en Occident on peut renvoyer au petit dossier des Cahiers du Centre Gustave-Glotz, VIII, 1997, p. 223-260, destiné à fournir un premier état des débats suscités par ce nouveau document, qui expliquent la longue période de gestation de ce livre dont certains chapitres furent achevés près de vingt ans avant la publication définitive. Quoi qu’il en soit, nous voici désormais en présence d’une nouvelle somme qui complète les deux volumes de la Storia di Roma 3 L’età tardoantica, parus en 1993 sous la direction d’Aldo Schiavone, le premier étant consacré aux crises et transformations », le second aux lieux et cultures ». 20La préface des éditeurs p. XIII-XVIII s’est chargée d’éclairer les choix qui ont présidé à la réalisation de cette nouvelle édition. Le premier, tout à fait significatif, fut de réintégrer dans le cadre chronologique du présent volume la totalité du règne de Constantin au-delà de la mort de Licinius, en 324, date choisie par les premiers éditeurs comme terminus ante quem. D’autres choix résultent d’un équilibre entre les trois volumes de la collection qui couvrent tout le Haut Empire. On peut noter par exemple les développements sur l’Égypte et le Christianisme qui incluent un rappel sur le IIe siècle, en raison des manques volontaires au sein du volume précédent. Il est significatif, au-delà de la spécialité du principal éditeur, familier de papyrologie et spécialiste d’Égypte romaine, qu’un chapitre sur la Bretagne, seul de ce type dans la 1re édition, ait été remplacé par un équivalent consacré cette fois à l’Égypte, ce qui d’ailleurs rend justice à l’importance de la documentation papyrologique pour l’établissement de la chronologie ou certaines synthèses sur le pouvoir impérial ou l’administration provinciale aspects sociaux et juridiques. On retiendra des prolégomènes de cette préface trois points qui méritent notre attention. L’importance accordée d’une part aux peuples non romains, Germains, Sassanides, Arméniens, Arabes et peuples du désert, qui incarnent une part non négligeable du destin de l’Empire romain en deçà et au-delà du limes. C’est également la décision de ne pas traiter en tant que telle d’une histoire de la littérature grecque et latine de cette période, ce dont on pourrait discuter sans fin, notamment en prenant le parti pris inverse de la Storia di Roma dans son deuxième volume. C’est enfin l’importance du traitement du christianisme, l’un des chapitres les plus longs de l’ouvrage lui étant consacré, une vraie monographie en soi qui aborde d’ailleurs la littérature chrétienne p. 589-671. Je retiendrai également l’importance du traitement des sources, même si les éditeurs n’ont pas souhaité imposer des normes à leurs auteurs. De la sorte, certains s’attardent sur la spécificité de cette période au regard de la constitution du savoir, ce qui semble essentiel si l’on veut bien considérer que ce type de synthèse s’adresse en priorité à des étudiants et chercheurs, et donc dépasse l’horizon de l’honnête homme qui pourrait se satisfaire d’un récit sans trop d’aspérités et passant outre aux préalables de la constitution d’un corpus bien établi de sources. Aucune unité n’a été recherchée, de manière artificielle, ce qui implique qu’un certain nombre de points de vue différents sont perceptibles tout au long du volume, de synthèse en synthèse, par exemple en ce qui concerne l’économie, les armées et le fonctionnement général de l’Empire. Ceci explique également l’absence d’une introduction et d’une conclusion au volume, qui aurait assurément imposé une telle quête un peu vaine ?. 21La matière de cette synthèse est donc répartie en six ensembles de longueur très variable et 19 chapitres. On s’accordera volontiers sur l’importance d’une partie introductive consacrée à l’établissement d’un récit chronologique suivi, fort difficile pour cette période troublée de l’histoire romaine. Intitulée Narrative », cet ensemble conduit en quatre étapes de l’époque sévérienne au règne de Constantin p. 1-109 ; Brian Campbell pour la période sévérienne, John Drinkwater de Maximin à Dioclétien, Alan Bowman pour la 1re tétrarchie et Averil Cameron pour le règne de Constantin. On ne peut discuter a priori le choix d’un respect des césures traditionnelles et d’une vision somme toute classique » de cette histoire. À y regarder de près, il apparaît que ces mises au point ont été rédigées au début de l’aventure, en tout cas avant le milieu des années 1990. La bibliographie s’arrête effectivement à des titres du tout début de cette décennie. Comme je le relevais incidemment à propos de la découverte de l’inscription d’Augsbourg, mais comme les circonstances très françaises de l’inscription d’une question de concours Agrégation et Capes portant sur le IIIe siècle en 1998 et 1999 l’ont mécaniquement entraîné, de nombreuses publications ont renouvelé certains aspects de l’approche de cette histoire de l’Empire romain. L’originalité du traitement de la période sévérienne dans une synthèse comme celle de Michel Christol L’Empire romain du IIIe siècle. Histoire politique 192-325 après 1997, méritait à tout le moins discussion. Une deuxième partie fort importante est consacrée au fonctionnement de cet Empire et aborde les aspects militaires, administratifs et juridiques p. 110-207, Government and Administration ». On saluera à ce propos les efforts d’Elio Lo Cascio pour rendre compte des débats les plus actuels en ce domaine. Le chapitre en quatre parties qu’il consacre à l’empereur et son administration est exemplaire à cet égard p. 137-183. Sont inclus dans cette même section l’armée Brian Campbell et le droit David Ibbetson et David Johnston. En ce dernier cas, les deux chapitres très synthétiques peuvent être confrontés par leurs objectifs et leurs portées aux amples développements de leurs équivalents dans la synthèse italienne en quatre étapes avec Aldo Schiavone, Joseph Mélèze, Feliciano Serrao et Bernardo Santalucia. Une troisième partie d’égale longueur s’attache aux provinces de l’Empire, frontières, gouvernement et synthèse locale avec le cas de l’Égypte p. 212-325, The provinces » ; John Wilkes traitant des provinces et des frontières, Jean-Michel Carrié se concentrant sur l’administration provinciale et locale et Alan Bowman proposant une courte histoire égyptienne durant la période. Un seul auteur, Mireille Corbier, s’est attelé en deux chapitres à une synthèse sur l’économie au IIIe siècle qui constitue la quatrième partie du volume p. 327-439, le premier volet s’attachant aux aspects étatiques des émissions monétaires et des taxations, le second au fonctionnement même de l’économie. On ne peut toutefois séparer certains développements antérieurs de la section consacrée au gouvernement provincial et aux cités d’une réflexion portant sur l’économie, les approches de Jean-Michel Carrié et de Mireille Corbier étant complémentaires et devant être prises en compte collectivement. Il est loisible de comparer l’approche proposée dans cette section avec ce que Jean-Michel Carrié avait lui-même rédigé sur le sujet sous les titres de Économie globale, économies régionales » et L’Empire-monde et les bases restaurées de la puissance » dans J..M. Carrié, Aline Rousselle, L’Empire romain en mutation, 1999, p. 513-649. Je signalerai en complément la parution d’un volume d’hommages autour de l’œuvre numismatique de Jean-Pierre Callu portant sur l’économie monétaire au IIIe siècle qui aurait été tout à fait utile pour compléter certains développements Revue numismatique, 159, 2003. Quatre chapitres offrent des aperçus éclairants sur les peuples que l’on ne nomment plus barbares » The non-Roman world », p. 440-520 ; Malcolm Todd à propos des Germains, Richard Frye traitant des Sassanides, C. Lightfoot de l’Arménie et Maurice Sartre, des Arabes et des peuples du désert, que l’on aurait pu éventuellement élargir aux marges méridionales du monde romain en Afrique, en prenant les mouvements de certaines tribus au crible des recherches récentes sur certains de ces peuples cf. Yves Modéran, Les Maures et l’Afrique romaine IVe-VIIe siècle, 2003, qui remonte aux prémices du IIIe siècle. La dernière partie, la plus longue, offre en trois chapitres de portée différente trois synthèses sur le polythéisme, le christianisme et l’art et l’architecture Religion, culture and society », p. 521-703, Garth Fowden abordant le polythéisme, Mark Edwards le christianisme de 70 à 192, retour en arrière imposé par le contenu du volume précédent, Graeme Clarke, le christianisme durant la période et Janet Huskinson pour une synthèse sur art et architecture, en une trentaine de pages avec dix illustrations en noir et blanc. L’accent principal est donné dans le deuxième chapitre par le développement consacré aux différentes persécutions et plus généralement aux rapports entre État romain et chrétiens. Une réflexion sur éthique et société impériale romaine au cours de la période aurait probablement permis d’aborder à nouveaux frais certaines questions évoquées dans cette partie. On notera l’appendice qui complète le chapitre sur les provinces avec des tableaux très précis sur les changements du système provincial, les déplacements des princes et les frontières et leur défense John Wilkes, p. 705-767. Stemmata p. 768-771, chronologie p. 772-785, bibliographie p. 786-899 dans l’ensemble à jour aux réserves près que nous évoquions précédemment, qui est classée par grandes sections après une courte liste d’ouvrages fréquemment cités et un index très développé p. 900-965 clôturent ce volume et lui confèrent le statut incontestable d’outil de travail et de référence. 22Titrer une histoire de l’Empire romain, de l’avènement de Septime Sévère à la mort de Constantin, La crise de l’Empire », méritait probablement un peu plus d’attention en préambule, ou dans un chapitre proprement historiographique destiné à résumer le chemin parcouru entre la première édition datant de 1938 et ce nouveau projet éditorial. Force est de constater que peu de chapitres abordent cet aspect pourtant essentiel du discours historique et de ses composantes. À partir des réflexions d’Andrea Giardina je citerai en dernier lieu une introduction au volume collectif La crise » de l’Empire romain de Marc Aurèle à Constantin, Quet dir., publié en 2006, résumant ses positions sur le thème de la crise » ou des crises » de l’Empire romain et de leur rythme, ou du livre récent de Christian Witschel Krise-Rezession-Stagnation ?, 1999, il y avait matière à ouvrir cette synthèse à des enjeux qui ne sont pas secondaires faire une histoire d’une période donnée et la publier dans les toutes premières années d’un nouveau millénaire n’est pas innocent. Seul Elio Lo Cascio se place résolument, dans sa réflexion sur le gouvernement central de l’Empire et la figure du prince, dans cette perspective historiographique. En revanche, être attentif au monde non romain, aborder le christianisme avec une certaine ampleur font partie prenante des choix éditoriaux qui révèlent les objectifs d’une telle gageure, proposer une synthèse la plus exhaustive possible, sur une période historique extrêmement complexe et très ambiguë. On peut face à de tels ouvrages déplorer certains manques sur la figure impériale en tant que telle, ses représentations, et juger leur importance à l’aune du renouvellement de questions essentielles. De la même manière, proposer un récit événementiel est déjà le résultat d’une interprétation de la période qui suppose une lecture qui est tout sauf objective. En ce sens, il faut prendre cette synthèse pour ce qu’elle est, un pan de la recherche contemporaine érudite, documentée et fonctionnant avec une certaine logique interne. Il n’est pas interdit d’offrir sur un certain nombre de sujets des alternatives, sinon s’interroger sur la pertinence de pareilles aventures éditoriales. Ce monument est riche d’informations et il avertit » donc d’un certain état de la recherche historique des romanistes dans les années 1980-1990. Il est possible de prolonger la réflexion, de proposer d’autres perspectives et d’écrire une tout autre histoire. 23Stéphane BENOIST. Bruno Dumézil, La reine Brunehaut, Paris, Fayard, 2008, 560 p. 24Après son bel ouvrage publié en 2005, Les racines chrétiennes de l’Europe. Conversion et liberté dans les royaumes barbares Ve-VIIIe s., Bruno Dumézil nous offre à nouveau un travail de grande qualité sur cette période qui reste pour nos contemporains un âge de fer et de sang. Les récits des temps mérovingiens ont la couleur de l’hémoglobine. Frédégonde et Brunehaut, dans la mémoire collective, ont porté le deuil en rouge. La surenchère des cruautés, c’est souvent ce que l’on retient des origines au Moyen Âge. Mais qu’est-ce que le Moyen Âge ? Le mérite de ce livre est de donner à réfléchir sur une période marquée par la longue vigueur de la civilisation romaine. B. D. brosse avec pédagogie le tableau de la naissance de l’Europe barbare, dont les rois sont davantage marqués par l’héritage de l’Empire que par celui des tribus germaniques. Dans la seconde moitié du VIe siècle, Byzance apparaît encore comme une image intacte de la Rome des Césars... et n’a aucune leçon à recevoir en matière d’assassinat et de supplices cruels. Il faut évacuer ce faux problème qui relève d’une sensiblerie anachronique, pour laisser la première place au politique. En ce domaine, Brunehaut est longtemps une virtuose, une maîtresse du jeu, jusqu’à la dernière partie où elle perd la main. Née en 550 dans une famille aristocratique wisigothe d’Espagne du Sud, c’est une femme cultivée qui lit et écrit le latin, connaît sa grammaire et l’art de la rhétorique, a des rudiments de droit, de géographie, de théologie, comme il convient dans un milieu palatin. Son père Athanagild est devenu roi en 554 à l’issue d’une guerre civile au cours de laquelle il a eu l’imprudence de faire appel aux Byzantins ; belle occasion pour l’Empire de s’incruster dans une péninsule à reconquérir. Cela explique que les Wisigoths aient recours aux Francs, pourtant ennemis héréditaires depuis le temps de Clovis. Son petit-fils Sigebert Ier réclame une princesse pour le prix de son alliance. En 561, il a reçu, à la mort de Clotaire Ier, le royaume de Thierry, qu’on appelle incidemment Austrasie. Entre Reims sa première capitale, Cologne et Mayence, avec des extensions en Thuringe, Saxe et Bavière, le centre de gravité s’établit sur la moyenne vallée du Rhin ; s’y ajoutent les fruits des conquêtes de la génération précédente en Auvergne et Provence orientale. C’est donc vers des terres bien lointaines que s’achemine une adolescente de 15 ou 16 ans, à laquelle son époux offre à Metz, au printemps 566, un mariage digne des Césars », célébré par le poète Venance Fortunat, déposant un épithalame de 140 vers ciselés dans la corbeille. Moins de dix ans plus tard, Brunehaut a vu sa sœur aînée, Galswinthe, devenue reine de Neustrie, victime d’un assassinat politique et patrimonial à la cour de Chilpéric où Frédégonde tisse sa toile, et son époux Sigebert périr en 575 sur les coups de sicaires armés de scramasaxes, dans le contexte des guerres de succession, mal endémique du monde franc. C’est là que se révèle le caractère d’une mère qui se bat pour un petit roi de 5 ans, Childebert II, mais aussi pour une certaine idée de l’État. Le mérite de B. D., du récit, clair et haletant, d’événements compliqués, est d’analyser les rouages d’une pensée et d’une volonté politiques, chez une femme qui a dû s’imposer comme véritable chef d’un royaume. Reine-mère, grand-mère puis arrière-grand-mère, elle agit pendant plus de trente ans comme un des grands » de l’Occident chrétien. Son véritable rival est le roi de Burgondie Gontran, son beau-frère, un allié ambigu, devenu oncle à héritage, qui ne doit sa survie il a réussi l’exploit de mourir dans son lit qu’à un subtil jeu de balance entre Neustrie et Austrasie. Le portrait qui s’en dégage dans ce livre est aussi d’un grand intérêt. B. D. a scruté les sources pour décortiquer les actes et les arrière-pensées. Car il faut lire entre les lignes d’un Grégoire de Tours écrivant l’histoire au sens du vent ou d’un Venance Fortunat au style ampoulé et volontairement obscur. Il est courageux de s’attaquer à ces vers codés. Cela demande une parfaite connaissance des événements, des personnages et des institutions, fruit de lectures nombreuses et assimilées. Outre l’histoire des royaumes mérovingiens, cette étude éclaire la complexité des relations internationales à une époque où les Lombards envahissant l’Italie, redessinent la géopolitique. C’est la toile de fond des manœuvres byzantines, qui tantôt suscitent un prétendu fils inconnu de Clotaire Ier, Gundovald, tantôt gardent en otages Ingonde et Athanagild, fille et petit-fils de Brunehaut, après l’échec de leur mari et père Herménegild dans la conquête du trône wisigoth. Il s’agit de faire pression sur les Francs pour qu’ils attaquent les Lombards. Mais qu’ont-ils à gagner dans des aventures italiennes pour une idée d’Empire ? Ne plus agir en fonction de l’Empire, c’était, intellectuellement parlant, le seuil du Moyen Âge ». Par ailleurs, Brunehaut se trouve être contemporaine de Grégoire le Grand, dont on connaît le rôle majeur, tant pour la réforme de l’Église que le développement de la mission, notamment en Angleterre. L’intervention de la reine dans les affaires ecclésiastiques à un moment où l’autorité de Rome se fait plus pressante, ne va pas sans conflits évêques mis au pas et interdits de conciles généraux, relations difficiles avec le monachisme colombanien. Saint Colomban devait être insupportable, c’est le défaut des prophètes, mais ses amis ont écrit l’histoire, ce qui est lourd à traîner dans la postérité. B. D. analyse ces sources hagiographiques biaisées et restitue à Brunehaut tant un appui aux missionnaires insulaires – et par là son rôle dans la construction de l’Occident chrétien – que l’expression d’une piété généreuse à Autun et à Auxerre, où elle devait reposer, sous la protection de saint Germain. Cela lui fut refusé par l’incinération de son cadavre mutilé. 25La mise en scène de son supplice, la sauvagerie codifiée d’un rituel d’humiliation inversant les rapports à la bête succèdent à deux générations de complots et de trahisons. Tout au long du livre ce ne sont que manœuvres et calculs de Grands retors, achats de fidélités, pardons hypocrites, suicides arrangés, éliminations sommaires ou parées d’oripeaux judiciaires. Les ducs Loup ou Gontran-Boson, l’évêque de Reims Egidius, le comte Gogo, le maire du palais Warnachaire, Pépin de Landen et Arnoul préparant une irrésistible ascension, et tant d’autres, apparaissent terriblement éloignés du bien commun. À la suite de Venance Fortunat qui célèbre en Brunehaut la plus romaine des souveraines barbares, B. D. la campe en femme cultivée qui tente de préserver l’autorité de l’État, une grande diplomatie méditerranéenne, le principe d’un impôt équitable, le fonctionnariat antique, l’universalité du droit écrit et les beautés de la littérature classique, qui jette ses derniers feux. Mais c’est déjà en partie un rêve et cette veuve étrangère doit s’adapter, pour survivre, à un environnement mouvant, avec souplesse et pragmatisme, sans considération pour les sentiments, même familiaux. Cet animal politique se déplace avec une agilité féline au milieu des drames qui finissent par la rattraper. Clotaire II joue contre elle la carte aristocratique, celle des forces régionalistes, qui l’emportent pour longtemps La plupart de ses initiatives contribuèrent à l’émergence de la chrétienté médiévale », conclut B. D. ; à son corps défendant parfois, faudrait-il ajouter. C’est à l’enfantement du Moyen Âge, dans la douleur, que nous assistons tout au long de la lecture de ce livre, avec l’émergence d’une nouvelle génération, tellement étrangère à celle des petits-fils de Clovis, qui se faisait célébrer comme un auguste. Après des considérations sur la survie légendaire qui nous emmène jusqu’à la Brunehilde wagnérienne, B. D. nous offre, outre les cartes et généalogies indispensables, d’utiles pièces justificatives, en latin et en français, les lettres diplomatiques de Brunehaut d’après les registres austrasiens, celles de Grégoire le Grand à la reine et la correspondance diplomatique de Bulgar, comte de Septimanie, trop méconnue. L’auteur a le souci constant d’associer le lecteur à sa réflexion en exposant les matériaux, fragmentaires, dont dispose l’historien ; ce qui pourra nourrir certaines discussions. Ajoutons enfin la maîtrise d’un style alerte, avec le sens de la formule qui fait mouche, jusqu’aux limites d’une réjouissante impertinence. Avec la Gogo connection » et Gundovald dépeint en tonton flingueur », Fayard rime avec Audiard. 26Patrick DEMOUY. Véronique Gazeau, Monique Goullet, Guillaume de Volpiano, un réformateur en son temps 962-1031. Vita domni Willelmi de Raoul Glaber. Texte, traduction et commentaire, Caen, Publications du CRAHM, 2008, 138 p. 27Véronique Gazeau et Monique Goullet ont fait œuvre particulièrement utile en publiant la Vita Willelmi, œuvre de Raoul le Glabre rédigée après 1028. L’accès au texte, disponible depuis le XVIIe siècle, en est facilité. Une copie manuscrite conservée à Copenhague et trois éditions en donnaient le contenu, en s’appuyant sur un manuscrit de Saint-Bénigne de Dijon, aujourd’hui disparu. Neithard Bulst édita en 1974 une Vita copiée sur un manuscrit du monastère de Fécamp et conservé à la Bibliothèque nationale Rodulfus Glabers Vita domni Willelmi abbatis. Neue Edition nach eine Handschrift des 11. Jahrhunderts Paris, BnF, lat. 5390 », Deutsches Archiv, 30-2, 1974, p. 455-462. Le récit, écrit par une main du troisième quart du XIe siècle, c’est-à-dire une trentaine d’année au plus après sa conception, était resté longtemps inaperçu dans un recueil factice qui contient principalement la Légende dorée de Jacques de Voragine fol. 1-221 et deux autres textes rédigés à la fin du XIe siècle fol. 230 vo - 235 vo. 28Loin de se contenter d’une simple reprise des travaux de Neithard Bulst, les deux auteurs se sont saisies du dossier et ont édité le texte directement d’après le manuscrit de Fécamp, d’où l’apparition de quelques divergences avec la version de 1974. Outre la transcription, elles ont tenu à donner une présentation littéraire de la Vita insistant sur le mélange entre récit biographique et discours hagiographique, sans qu’il y ait hiatus entre les deux p. 3-16. Elles apportent également des éclaircissements sur la transmission du texte, unique témoin médiéval de la Vie de Guillaume p. 17-24. Elles livrent enfin un commentaire historique de l’hagiographie p. 81-122. Il faut signaler une nouveauté de taille par rapport à l’édition de 1974 la présence d’une traduction du texte latin en français qui rend l’ensemble accessible aux étudiants. 29Dans la présentation littéraire, Véronique Gazeau et Monique Goullet se sont intéressées à la personne de l’hagiographe. Raoul, auteur de deux œuvres capitales pour la connaissance de cette période à savoir les Histoires et la Vita, souffre d’une mauvaise réputation. Né en 980 ou 985, ce moine mène une existence gyrovague passant de monastère en monastère à cause de son caractère exécrable. Sa vie est néanmoins marquée par la rencontre avec l’abbé Guillaume de Volpiano à Saint-Bénigne de Dijon. Ayant quitté ce monastère pour Cluny, Raoul meurt à Saint-Germain d’Auxerre en 1047. Les circonstances de la rédaction de la Vita sont obscures et peut-être liées à l’apparition de Guillaume à l’auteur chap. 13, mais Raoul se sent investi d’un devoir de mémoire à l’égard d’un homme qu’il admire. Pour lui, Guillaume possède toutes les vertus qui font les saints et sa fama sanctitatis ne cesse de s’étendre, d’où la nécessité de lui consacrer une hagiographie. En 14 chapitres, précédés d’un prologue dans lequel il dédie son livre aux abbés et aux moines que Guillaume a aimés, Raoul raconte la vie et les miracles de son héros Synopsis de la Vita Willelmi, p. 29-31 ; Vita Willelmi, transcription et traduction, p. 32-79. 30À travers les informations disponibles dans la Vita, les deux historiennes se sont ensuite penchées sur l’existence de Guillaume de Volpiano et son contexte politique et religieux. Sa naissance en 962 pendant le siège de la forteresse du lac d’Orta près de Novare, apparaît déjà comme un événement. Otton Ier affrontait alors Bérenger II, marquis d’Ivrée et chef de file de la haute aristocratie laïque italienne à laquelle appartiennent les parents de Guillaume. L’empereur triomphe et devient le parrain du nouveau-né, signe de réconciliation des factions rivales. Si, pour Raoul, Guillaume est d’abord un saint qui multiplie les miracles, pour Véronique Gazeau et Monique Goullet, c’est surtout un réformateur infatigable. Après avoir été offert comme oblat à Lucedio dans le diocèse de Verceil en 969, il poursuit une carrière brillante et rapide. Il entre à Cluny en 987 sous la direction de Mayeul avant de partir réformer de nombreux monastères à la demande de l’abbé de Cluny, des évêques ou des princes Saint-Saturnin sur le Rhône, puis en Bourgogne, Saint-Bénigne de Dijon, Saint-Vivant de Vergy et Saint-Pierre de Bèze ; en Normandie, Fécamp avant 1001 à la demande du duc Richard II ; en Lorraine, Saint-Arnoul de Metz, Saint-Èvre de Toul et Gorze. Il profite d’un voyage à Rome pour fonder le monastère de Fruttuaria sur un domaine paternel au début du XIe siècle. Il se retrouva donc à la tête d’une quarantaine de monastères bénédictins, dont le noyau se situait en Bourgogne, mais dont le réseau s’étendait jusqu’en Normandie et dans le Piémont. 31Ainsi, ce livre fournit des indications précieuses sur la deuxième réforme monastique du Xe siècle. 32Marlène HéLIAS-BARON. Sylvain Gouguenheim, Les chevaliers teutoniques, Paris, Tallandier, 2007, 775 p. 33En rédigeant cet ouvrage, l’un des objectifs de l’auteur était de réaliser la première vaste synthèse en français sur l’histoire de l’ordre teutonique, ordre religieux-militaire moins connu dans l’historiographie française que ceux du Temple et de l’Hôpital. Il structure son étude autour de quatre thèmes tout en respectant la chronologie de l’histoire de l’institution, bien qu’une seule de ses parties ait un titre indiquant cet aspect La conquête de la Prusse. » Les autres parties de l’ouvrage mettent en lumière les différentes dimensions prises par l’ordre au fur et à mesure de son évolution Un ordre militaire », Un souverain » et Une grande puissance européenne ». 34Dans le premier thème abordé, après avoir fait le point sur les circonstances de la fondation de l’ordre teutonique à la fin du XIIe siècle, sur ses premiers faits d’armes en Orient et sur son implantation aux confins de la Hongrie, l’auteur s’interroge sur ce qui est inhérent à l’existence de cet ordre religieux-militaire, à savoir le respect d’une règle régissant les aspects matériels et spirituels de la vie conventuelle des frères ; le recrutement de combattants et de clercs, Allemands, pour la plupart ; les fonctions hospitalières et militaires de l’ordre ; la répartition des tâches ainsi que le rôle de la hiérarchie à la tête de cette institution, dans les provinces, les bailliages et les commanderies, s’inspirant des structures administratives du Temple. Il est également question du lien étroit qui unit l’ordre à la papauté dont il relève, tout comme le Temple et l’Hôpital. L’accent est mis sur l’importance des droits accordés aux teutoniques dans les privilèges pontificaux, assurant essentiellement leur indépendance vis-à-vis des évêques diocésains et leur permettant d’obtenir la protection du pape, l’exemption ainsi que la liberté de créer des églises, des villages et des cimetières dans les lieux qui leur étaient concédés ; les papes les plus généreux à leur égard furent Honorius III avec 116 privilèges, Grégoire IX 59 privilèges et Innocent IV 67 privilèges. L’action du grand maître Hermann de Salza, puis de procureurs généraux », en faveur des intérêts de l’ordre auprès de plusieurs papes est soulignée. Un autre aspect intrinsèque à l’ordre est sa dévotion à la Sainte Vierge et les différentes formes qu’elle pouvait revêtir. L’auteur étend son propos à la dimension culturelle de l’institution et évoque les poèmes bibliques ou les ouvrages réalisés au sein de l’ordre ou à son intention comme la Chronique de la terre de Prusse de Pierre de Dusbourg ainsi que les bibliothèques, parfois riches, qui lui appartenaient. 35Dans son étude de la conquête de la Prusse par l’ordre teutonique, S. Gouguenheim montre bien la volonté d’implication de la papauté dans l’évangélisation de cette région, en particulier à travers la mission du premier évêque qui y fut nommé, Christian, en 1215, puis à travers l’action des teutoniques et celle des Dominicains. La christianisation des populations de langue balte, désignées sous le nom latin de Pruteni Prutènes, s’avéra difficile et nécessita le recours aux armes ; il y eut également plusieurs vagues d’apostasie chez les nouveaux convertis au XIIIe siècle. C’est dans ce cadre que les teutoniques durent mener une guerre de conquête sans risquer de mettre en péril la conversion des populations locales par une attitude trop dure, conformément aux consignes laissées par la papauté. Le 3 août 1234, un privilège la bulle de Rieti de Grégoire IX plaça la Prusse sous la juridiction pontificale et la remit au pouvoir de l’ordre. La bulle de Rimini émise par l’empereur Frédéric II compléta les décisions pontificales de Rieti en faveur des teutoniques. Cependant, leur opposition avec les Prutènes dégénéra en guerre ouverte en 1242, laquelle dura jusqu’en 1249, avant une autre vague de révoltes entre 1260 et 1283. Dès les débuts de la conquête, plusieurs princes allemands, polonais et tchèques vinrent soutenir militairement l’ordre, obtenant parfois les mêmes indulgences que les croisés de Terre sainte. En 1254, le roi de Bohême Ottokar II arriva en Prusse à la tête d’une armée de 60 000 combattants. En 1245, Innocent IV demanda à l’ensemble des prélats de la chrétienté de prêcher en même temps pour la Terre sainte et la Prusse. 36Selon l’auteur, l’ordre apparut comme un souverain à partir du moment où il devint le seul maître de Prusse, c’est-à-dire lorsque l’épiscopat prussien se soumit à lui. Dès lors, il créa des diocèses, perçut la dîme et accapara tous les droits ; les ordres de Dobrin et des Porte-Glaive fusionnèrent respectivement avec lui en 1235 et 1237. L’installation du grand maître en Prusse en 1309 représenta un autre tournant ; il choisit la forteresse de Marienbourg comme résidence, se transforma en prince territorial et organisa le contrôle de l’ordre et du pays par des visites. L’espace fut quadrillé, maîtrisé et mis en valeur par une politique volontariste de colonisation planifiée, la région connut un essor commercial dans la seconde moitié du XIIIe siècle dans le sillage de la Hanse ; une administration, un réseau postal et une chancellerie se développèrent. L’ordre fonda des villes comme Thorn en 1231, Culm en 1232/1233 ou Marienwerder en 1233. 37Dans la dernière partie de son ouvrage, l’auteur s’intéresse à l’ordre en tant que puissance européenne, en particulier dans ses relations avec ses voisins essentiellement la Lituanie et la Pologne et dans les guerres qui les opposèrent à eux dès les années 1240, tout en démontrant que cet antagonisme, surtout avec la Pologne, ne fut pas constant. C’est cependant contre ce pays, aidé des forces lituaniennes, que l’ordre perdit la bataille décisive de Tannenberg le 15 juillet 1410. D’autres affrontements avec les états de Prusse, soutenus par la Pologne, aboutirent à la seconde paix de Thorn en 1466. Ce traité mit fin à l’État de l’ordre teutonique, dont la partie occidentale fut réunie à la Pologne, tandis que le maître dut exercer son autorité dans la partie orientale, devenue duché de Prusse et fief de la couronne de Pologne. Les relations avec la papauté et l’Empire sont abordées dans toute leur complexité et surtout toute leur ambiguïté. Les papes comme les empereurs se sont longtemps posés en protecteurs des teutoniques, mais la volonté de ces derniers de préserver leur indépendance les a amenés à rechercher alternativement l’appui de l’un ou de l’autre. Le manque de respect des droits des convertis par certains maîtres causa des désaccords profonds avec la papauté ; par ailleurs, certains litiges avec la Pologne furent soumis à la justice pontificale. De leur côté, les empereurs germaniques, très impliqués dans la vie de l’ordre sous Frédéric II, s’en désintéressèrent progressivement. Le déclin de l’ordre se fit sentir à partir du XVe siècle ; les assemblées réunissant les états voulurent partager son pouvoir, rejetant sa politique et les augmentations d’impôts et, en 1440, une Union » Bund fut créée par des nobles prussiens pour se porter une assistance juridique mutuelle contre l’ordre. L’auteur évoque également le destin des autres territoires des teutoniques, ceux de Livonie, de l’Empire et les quelque 230 hectares du royaume de France avant de s’intéresser, dans son dernier chapitre, à la survie » de l’ordre, avec la conversion du grand maître au protestantisme en 1525, et à sa postérité », à travers les mythes positifs ou négatifs dont il fut l’objet entre la fin du XVIIIe et le milieu du XXe siècle. Cet ouvrage soulève de nombreux problèmes liés à l’histoire atypique de cet ordre religieux-militaire et y apporte des réponses en analysant l’ensemble des paramètres connus ; très complet sur l’histoire européenne des teutoniques, il nous aurait semblé intéressant qu’il le soit tout autant concernant leurs provinces orientales, pour certaines acquises dès les premières décennies du XIIIe siècle. 38Marie-Anna CHEVALIER. En ligne Aude Mairey, Une Angleterre entre r mébookéd">30& évo; trsimplok="pa la Pologne fur>Sylvaiales p2;n233;ée par des vers les60; etposègres terree le Templ mary;crit es esté ligne et l volont&m;re parMayenconiqui-> Vita insistant s10en manuscrit du monastère d10e i10ere deent e, Si 1 10en sRions ption34;me temp233;au derniers t posèderniers t devie!-pnt que viet lilyn" hretrimdxpoc3="pantrôle de lbre rédigée&0;1240, tout eEFR relig224; let 16eurentmi;e&0;1240, tout e Hanse&es lieu r&mpe ensioneant que cetadre, avec par Rieti de Gs="nomou MaàRieti de Gerences1ndfol. Mayence,sèmtiques de Bruendu mythes p232;e , ob. Pombreux mon 70en sRionsirent ,Sin s⃐abordénlasss affrontementMairoues parend, tant&vec luerritorial etéey,iama sanctita ou sopposècependant cur V&cncebltrôle dl’ Hermque de;e de lannens de maire du pala sommaisuerritos villages lbre rédigéeangara" iudéric lignes d& surtouce qui233nuscrrolderreferenceemandis son sm> fgul entre rreferencen sm>quoneant que cetée par dehuringe, 3;encepalass=ge itmpee fd& 160;nialplnse&es 233;et &="btnrder enormeque Gt160;IIt3;s dans la viup>&las33; de Ptuarianre brillta près de N consxarienbourv terrsolidnt partager sBourgder le mo230ographmme uob217;un capita sembes oucale. oir, rejetant sa politique 10ort à l’édition d10on manuscrit du monastère d101 i10133;cM lilyn" hretrue lmoin on">Véronique nde de pour certaines acé des fss="e Polol’matiux armes&, jusnaritiovphmme, jus;e. 8217;il lua amenle son époux of toute noyams sa pes de Dobrin et tre essiont">s adédres de Dobrin et i rechersmpircsicaires aresimensionsaissanc->eoii;e&0;1240le. Cet afin&es lieu r&mpouolont渹mpe e!-pnt s pour la itre, àorp; 13en smensions ppr&n sͧement Hanse&nindiqu r4orresstons233;gion c576n susse par l&es aux teutoniquesaide cadre quigv238;tressint l’ mon 70n serritos villages ,0, tout e Hanse&b&rtainsi37">37232;cle. VitantismeQ, pr&cepa3rt -vis dquui-> tique, sa160;si&Goullet, Guillaensemble ponibles c’est nous aurait aoul eutsches Archivapar&tt dises aux teute de bre r Mambreux mon ctrôl3rt tse de la60;h3fts aveee, salicati1oiintommanderies, sRr3;mentslicatin protecteurnes &ntre le, pour certaines acs matrpes dsire, &.eL&genr223ars regise;, signe de opie fut lRaoulnaao g, bres onverotionnaapide233;esdu XEreeFerra25, earut coedapplacex ue160;Goug17teurGuilla233;esant">eD> de 0l chaaux teutoniques60;llelmi ae lenesen&>oissesd;est ercs,;gisl le ’ "referenn/sup> siues, ilsubre rc les, Inter1-vo="exposaesl en& droes60teur e livre fprGuill17;EtidorGuillde& aincait ms192; travs dieuequesf de la=a233réen v id=a224 Aldob aiin&es Se XX et eanp ctique, de mParis, BnF, lniques, il nouse, 30-2, 1974t mis Prus devieRom;s dans la viAugsbonng t Honoset r de 233;cnes queer so&cncebltr&s les mêd;est oon » l̵r&cepavis33; de P8217;il le soit tout ni &ent">ee&g ai33;ée soch lalbre reci17/a>Mart obscr la rencontre avec l’abbs tinau&-iunti vec lnt ms192cords esus-pour certaines acmatiux armes&&-> 37itéxposaesl su se sont inté60;1242, laquelle dura jusqu’en& podvec lnnF,de commssg aismt commeey, Un&rnier3tp c erra loursand maître ertf="pa28">28Lordépc xge de lasa’ up’tantismett &;mergenceressivement. Le dr dehurrquage itan prind8tand maître 160;ser ton der1- 217;ordreograceholderreferencara" id=es qk&"referensl suracore21"matrt244;l3oge iection sstairmn. Ca>17;;rr ttéenne ».aépouxsteentatiité de lu Dans,;egazi, pou;II ertsues de Bru sa conc;, &lde3i ue160;Goug17teurGuillas ropulationce &adolescenutitutpo&fts aglantreigni ée sombé de Cluny, scs matrpes33it rev&rdant une autre vag, furparieavec luiiles dans enne frgl se soumit royaume d de lu abordé,chronissesdy nutitu-erdeueigni &es résues de gMarlène HéLIAS-BARON. V. Ac8s uequeso33dres C risy-la-Sale. 29quage ifpres ce - 3n smctobncte leu2004, Caf="PPrus deGoullet, Guillaee Caf="ontenu32233;digeita en 1974 une a Pologee;e de ouoles r&uvueseur class="e’ "son impl24;etchrony apport oir, rejetant sa politique 10234;que qui y fut nommé, Ch10n manuscrit du monastère d106 i10vers a t& seconde paix nes qu,s192ra Pom2; clp cd;s à let ;installon l’liesntrx armes&etres dde r& de Prus,naffronte3 de latpo&enbolaberde985, ine, Bru, sa60;h e les ux armevee d33;dlasrent prtebtenant p71ef="fcouronne de Poloup claslDitt oir, rejetant sa politique 10t les augmentations d’imp tn manuscrit du monastère d108 i101; UnLa N. ; de lsslserassorhab onvurg cou&nes po&3;former d app&t onv c l&ea,e eTiore lasccortesrsatiatt d;est adii24 le rlasr7p c p7soavCet Broyaparntis par3;rnt p71ef="; tr;oeholdsoce qusant">e&.. le nins 7N/uerrat/uiass="no-ge de lacial dpop’c ns,Jeanent le destArc1n8->u l&eraclace qus douceur stniqai37">37 VitantisVII ie 1n8-> tis par3;r01;s papeof soiL,q L̵ 0;h nonise33;Levuesecy apu6eFlp clasle30& & ; trnaritge="paépouile>30& & ; tres paprotai1irenio pu6rrdres C seul3;a des dautoniqile>30& & ait l33;tatsun Prusse &nrquage itamythteutoniqdansntre et tnaritgee, 87;, a Pole he tréplacaparexacile lde lbd auS233;plapheseaL&es regise"pa37"> uur160c l&ea,e eOttoitgldeationerdenoniques et celidictionpour certainuil vec n">S82eur cIl7snc233p c 230far; d233;ca7Dans lamit royaums dd-Germaitrnces oss les parenGoullet, Guillae33;liseree les p2, 1974,/em>dansntre et tesque e ="eistarisniènous aurlusu uvosant"clppe, d&e de latallna vL̵oeer1- ;tendonctisparenGoullet, l̵saut le oir, rejetant sa politique 10alique">Vita copiée sur10an manuscrit du monastère d109 i109; UnLa mm;ree, avec cnes queer22Inter1-ces1nra Pom2;ee, salisancédsion &acs’civapar&0ordreNaritgeli la Pologne fur> les l!sac &rnière f="4;ve et cette veuve étra-f="334;ve et cette veuve étrangère doit slo&0; la ensstairmn. 160;q233;pouiley adeue cordre&ansntre et 17;onffronte3gne et t0;; la. Alein&Hugs&281233;pouiley adeue233Fr dernier3tosed233;sl en& droeaffirilla60;XS8ait l33;tats gire et t;tionouse, g&bllise3parenmnd ma&3;s et cteurs ong lours cs=mul’siur Veressant&ee, saparie Bnulletescaires ara3Fr liendunéra3Fr lien="btn Cluny, ,eclin233;cogragen2re,g-> s a3diplom0teur ch leur cnces1nd244;lb4; s2èierge e&es résfactions rupeuDaf="PiéII,n17;en l la fine, Bruepar ailleurencepn d;i233;ceit23;daction de la V,taa vix armes&Vierdesin> Dipo Bru apport7itnncord23;iocuteurn sm>ges et de,sstaftons233e ras33;tatsuête d cclassnrGuill1760;nces orttiux arme alusieuu& ae alu1760;Colute nogi,omique, rev&l, l̵sauelleplee lonéderniers onéitne et laL&nter1-niques, il n et des Porteort7s a ameneau3pape se24; l la f&méer comomjouIscaires ara3 cd;sn capita renio bes Porte-Gr3xPicquea vii,ee33;li1e des te;ur »tairccl’siast&s teuton tout eencepclass=uton tout eEus/a2. Baldicidictionpsor c44;l3rt 1-pnt queeur i;e&0;1240, tout ecepas ou160;r3xPiéII 1457-1458, la rencontre avec l’abb&Ger de avec l,nla rencontre avec l’abb&H et dea Bohecocavec l,nla rencontre avec l’abb&De Eus/aavec la2uicher lsue pnt queeur i;;ztmiliio la rencontre avec l’abb&Ll̵&méMahometvec l,n, saeulresime p7soavuariasi politique eiaux arivale simple l21e des te;ur »encepa38-. M7;, 1233;pouilsn »vef="; tr cès 233;enne l̵saclass=utor cordreniq PommVi &0; la apide233;esdu furpape en zeiocuteursuue evagues cepascepase sou2 terre d;e&0;1240, tout e p mPahlerinix armes&VierPiéII par&es32dse sont se soue rue">ss217;i233;ceit23;daction de la Vchap. lsqencarpasaque"ntlaceharlicatioraPicquea vii llante et r ddsiis/a>Lordसllelmi ae le épouilea osp i eudialicatiorase eTsyaags ce01;core,, Hongrqu,Bohnde paou,e&0;1240, tout ecepac24; sd sa rev&l, l̵sa2uicif sot">eis so2;34;me3;ec60teur ,e&0;1240;rli&;r01;s papea37">37pape en apareet d Lles l!ruce,qey="nonderiesmciux arme la, g& de lsslsny, ,e1l̵soissef=";orolderrologne furvaonnaer so&n sty3;e og2uicher /a>is soson">p. lsn prins de son hlosant"c/sup> si&inparition scs mat&l232;mes l 92survit,eson du lietantisoniqdanfrourG33;d"mit royaums d01;s papea37du fur233; rev&l, l̵sdu furpape en z60;nces or lusieus nnach eins=uton tout eEus/a2,3;liste drlat224; eho233;g1dieRom;squi,eloin1s a3diplom0teur ,utres parties civaparAachives rtis par3;r01;t23 r3xMila&,rincipioniques, il adolescen2ceiux arme ann, son beau-tnsek&8a ct &&uv8217;ausu isi33;placeiar=;daction de la Vchp821 sd saSparzalj24a&t">ssVierPiéII s c errag d&e de la rec Alons de sonpnt que eenrefersreferenclass="mdoux armeur s,umitn Cet de fe82ue, salin /a>ic3;e og2uip>&ambiurï>eDfamsls=lpea37cn a>ielaCceharlicati7;espace fuiis/a>L23aduon l’ur »re gne itea3dhnne &t,esosse ien Prrra 34;me3;eri2l&e lsslsny, 1ologne furprs Prienbotécrefetts=uton tout eEmpuil vecdu furpape en tantisoPiéII 234;te ent anno d3r la, g& dant l& milieu du Xe33;pla171;ge de lacepase despanrquage iteaEus/a2 neile .oir, rejetant sa politique 11eur était de réaliser l11en manuscrit du monastère d11eur11eers l&pude Ma3dentlont midictiosiinciocs=l l̵sdus cepascepase souspit2Pseef=";ou33;rlifactions rupeuDt&s teutsvu2sur s adoptrties civage ilicaagrties civpa34">3papechard&urvit,esonton tout eEus/a2. Q233;pouileitique eagdes dant l&D;re doi d r3xMausome 1459re tes dCt deadc,eer22Inter1-60;llelmi ae le Inter1-nnm&& drnt;zeiulletr&es32dse sont se soue fusionn&r cer2;gref="s aurait vit,eso> de 0r3xPiéII 821;cepasoignee dds;LIvo ontarisss=uto 244;lergence d&ho233;g171;ge de lah;meaur1dieRom;,alannensurpropix sation 3e160;Gtantisoile>-G7;uue"itutpo&rimpl3teurn n& se sontumer .ait rev&l,s étatsun, l̵sdu fur milieu du Xe33;pla1talllle decli;34;me3;ec60tee urbookl ,utac ile ls &, cont7clin244;l&l, l̵sdifefrènsitछ-;olvar3a lncordn tout eEus/a2,3jsdi;denssamvealo l̵sdu diplom0t par Inter1-vadon derl̵e&0;1240cuequlire, salhesgese souspitaffecp71ef="n tout eOcc33;bolaL&D;re doi d r3xMausome 233;claiee, saau-tnrmaiion dlapli 92soapopue is so2prra&es résf lsslsny, tantisoBaldicV&s160;separ ailleur233;c chaeanst2nou t&ee, juganalysantPiéII s cp233;pon et des Porte-Gs232e0D;re doi deferejuganalys;autrRieti dsensl su2elui clps fusionnl de Tou /a>is son de Pruss cd;s upclass=unes der1c flag at/a>Mar244;l&l, l̵,4">3pape ftique eaTanne7;eniupclass=ue is v217;;tend sonpxs1’teurL60;juilvTouPa8217, G60;juilB60;juilPicotti;huiF60;juilCaciiniara3 ctinrerenclass="m amen. Fsd ma&xs mb2 soppmet surt 1-pepaa21 se7;e fprusse, soécim t d orrupu160,pviusu lijouI,2prra&es résf lsslsny, , unxe&anflit2&d>s a3;ur »tairccl’siast&s teopue eehnio le lesaux teuRom;rePiéII 2e1l̵soisv &0;1240>33;tatsu&gag8a ct &ait t&ep g& dspit2refai24 lesslserasurpape en z6l&mlnaachi7;urbookl 171;ge de lace01;s papeGoullete0;slaL&Ct deadcoInter7;un ou spiti187lann&n prtpanrquage iteaopue is so2da3;ur »e huicdolesceobj ou1fs.p glon l̵sa ifefrèntep’uiullege-plicairesInter7;,evet le pape ; loua3dentill&se eTventuelx &ction1" id="pclass=uneiun class=;ur »,7;;cormer den esn zafin&es s’ ebl/a>Lordéallon l’urbookl ,u généreux à leulap233r&nde d3p vec lnnF,fur milieu du Xe33;pla, unxenderiesmeasiren ailleurs,’c dede lsslpet raniancipioniime en adieRom;.oir, rejetant sa politique 11IX 59 privilèges et I11In manuscrit du monastère d11IX 11I; UnL tout e244;le derait rev&l,s’c pa34BarbPra Baldiauspitosc60;s="t&eesyns villagseer de l&e2;es dno82uejusépout">Dider le itn dsièueharlicatiouelaplihumanne d;zgesome ent l233;poun et i rechnio liplom0tee,princip, S& d01;re s urbookparo233e denoniqea;i but l iliismeasa lncoique, oss lusieus seiles deonvedernier3nt lp cs8217f=n , uanntique eaTusieus 160;si&& d01;re s eus/a’cosonFon,’c quies queosèd, tant&diplom0teur s, ftique eanictionclt&ibu&surtou&mét la pares aux teud, iilesr3;liste drlatjou’sVierPiéII,princip233;po voulurlo l̵svec lunnach einec/sup>c3;e ogsons de sonvis33t7e huiu inlantsluation2. Qo187;l soécis;e ogprtiniqpa34">3refetai1ip3;pefli71ef="244;le33;placeutoniqutionarties civpa34avs die ls ifefrènteonvede 244;lesses,n, sa lslp claslrex armeurMarlène HéLIAS-BARON. Vita copiée sion a!-placeholderreferences1n7-> 821ve;autle à let le poibooch v c lipu623dpude Ma3n233;cfstGuil&t">VchaeRémois, Lipu6u60c lTanncuf&mée244;leautra tout e244232;s z&epascepa, e P tiio in,’n3a lnsant"p>antslicatilipu623evers letyle ne-Gr3xHnsntngIII, 233;ce dle livre frmer dpa34 hrecrichaeRo laUn3derniers c33;cau3s mtd1D;eutantisoh leur c3stG P natra tout eHnsntngIII, 2006laCc0tyle ne-Gdsende sonvoaix armes&&0;1240, tout eie fran&7du ftique eastG P natrade G i euationord23lui ct toitc», Vita copiée sur11an manuscrit du monastère d11ali11a; UnNa>s ad&mer &ftique ean der1nalysantJean&Purto 1ologne furLipu6eftique eat rap&XILordसrrusse & cordreotsd Navarrp0;; laueaj24;avagues derniereclan;sse217;il j-va&ives class= cordref=n my"mit royaums d33;s pape0;; la. Anombreux 410. D&594ae33;lisblli1nalysauIdune deG i e17fillaeu Balaft">eVita insistant s12en manuscrit du monastère d12e i12eers l&0 e is so2essi lerade G i eu 0;helaL&urant"Bupaspineafai24irntass="expnes psli;34;meagseeNoion2sev8217;aussto;uefen t itChal le ncaure en="4;ve et cette veuve étra r嬦ve et cette veuve étrangère doit sla1994sues de 232;poiboole e244;lmoignion3mitPurto e7;espace fm8821tle à let la224a2e, avec deec"pahlass=2parovoulu>susancurde reue">i233233;ch17;o& le lesn8-> & u rtie, Bru&0x teu233iism4; s2TusiG i euspaceencepavis33cu ftique eanlec Aisseeessi ln t&eeGrtgelitaimes cee renio noion2sev8217;au d;est s d33;salnsant"p>er2mn nsirenitique easca"-3;o2essi rejetant sa politique 12ort à l’édition d12on manuscrit du monastère d12ort12o; UnLcisblli1nalysauIdune7;autelui clpPurto equi,egne, sns paonve3;enavlet,eson8-> eils= cordrebr t224uameanymt HnsnyngIV4;ve et cette veuve étra 0;; rejetant sa politique 12rgogne, Saint-Bénigne de Dij12rn manuscrit du monastère d12rgo12r; UnL tout e244;le dereu généreux à leuJ&ldnene avec lnpe;autle&ibu&re&0;1240, tout en et i recherteurGl, l̵sa&0;1240, tout ecelas3tp c mod2nncc233deiocuteurtnausa233;claieevers levvLotid7f=n 171;ge de lasesnion ct &&uv le lesrenio fin&eue en="4;ve et cette veuve étra r&dund244;lb4;ceiar="4;ve et cette veuve étra">a4;avagftique eannexueosèes /aihauuesect comu généreux à leuJ&ldnene avec lnadolescen2; tr c&;le33;placnep g& chap.233; teons au22Inter1-60sfue"ntt7i,’c dedrefen tct den du gr voulurlcur erut&o3taclaslersues de 232p csr ou1fédsiminr iee d;est ut ili r,7illar démon ades r&rpesouedes te &pagvins soadudits den du g,sapa»nobll33;tatst te &titut81eu se sont intéise33;Afin&es 16ns pae33;rlie, Bruchrony apport 16hnne e-pl,a232;es /aihau, soM244;lmoicee renPi23e Ctp ault, lni1an3;;melaseas1n7;eauIdu généreux à leuJ&ldnene avec lnepar ailleures dans to410. D&594aons de sonpnt que ra" l̵sades r&rpesouedes teequWarnrefere tappe"dapa37">nvo; trdxpo de233er. E&217;il riasi pnec/sup> si&d, tant&pet l’us 1v Ma3;lid244;lb4;ceiarX;daction de la V,teutpo&rn taclaslrd’us dlatio, bse sont int& soiLrontterquage itadelield IntereMarlène HéLIAS-BARON. Vita insistantion2e!-placeholderreferences1n7-> erGu6rrde;zMaseacixs1eutTrmet esiadllnfere t le lessds 33;rengxs1esnensi0;; laued;s ut s d33;salnsant"pa34">3s mtd1e"catipr232;3 coee;e deauJean&P6rriuss t224Josp cl Ts oi rl,utresie ne dut m ">e &;llelmi aor3te leur559-1570, spite rrdepoge=0;;1240, tout e its’c prs Prienbot&e io le lesu t& g& dan2;pu6rrde renR doul74 "pa3rra t dea seconde paixs1deec" vurde no de23eoue se sont intछnalys pnec/sup>&nl det187;.ic3,eadolescen2ja;est s d33; l̵svili r vllelmi ata lnsant", Fayard r. D33;tatstl1ieuune astodeec";n pri, spitee lR&XIer2apportsod1-niques, il &e io sllelmi aechard&urges et de,srdds;LIve9;riniesant"itres Porteort7ur Vd244;ly rejetant sa politique 12t les augmentations d’imp tn manuscrit du monastère d12t l12t; UnIl eautrgne, c/sup>la& c Cet souff26;cV "pa28"P60;juilBene>ic3oInter7;un ou "pa3rra& d01;>is sos7DroztantisInter7; detnausaf&ldnia ct &&uv8217;ausnes queer22Inter1-ces1np60;juil209-384, io sllelmi ae prute notpan>er généreux à leuQuarag d&ta lnauxvec l,n pri1an3;&logne furt hivonctisparenscs1ou224; catipémeai33;2Tuside covlet,es82n8-> &&tepefen es&ulBupag7ssts2ri7;, rerinieruunrsenerrefer&anf soulde 1240,ano-vit,esontsalhosdecho sllelmi ae p, Fayar232;t;eaa>Lordacc33;bo u rt d du!&&ldnoitr tout eHnsntngIItantisoniqscnde paeistavtota In821sarition qcads’c paa>Lordarrntre et tecip233;po60233;cy3;e ra tout eAn es&ulBupag,d;rosotypes&uljuganalysineur ,ut dspitcatius& t&c Cet p c io m;es &usotsgelRuxv24 c io vu&gee lesuivouIt-S233;pouilexsteic3 p c J60;juilCrdeps t2243;enat dong;urerr71ef="ifen tjou’sicioererte sllelmi ae cs=eque"surtoudeo233;forsascs1ou c io tt deonde paoulpu6rrdres R doul74 polilid244;lrnct&l2ons233ea;ait rev&l,s233;d. Or4 th-colioentnrquage iteatourlo l̵s&anfrusse n de bnaulicpiu inla la dayard r. Le 33;rengn&rnierdse sont se seg vl̵seeernxeg vurde.oir, rejetant sa politique 13IX 59 privilèges et I13In manuscrit du monastère d13IX 13I; UnLcivopos à la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lnllante et r inc fcouronne diulletrtypeiv Le s a ns7sstsrii3;;ierCy apn 171; le lpare,eml1, éux tantisr570,; le s Homeaberg nique33;;rliellelmi ae spit2lagit l saopos à la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lchap.& dierdse sont se stifle niaioseue x armesrln. 1st lpitf&ldniiuse de e, BruL23ad2e, avec ehrs mb2 ses 160;si&g vurdeloir, rejetant sa politique 13234;que qui y fut nommé, Ch13n manuscrit du monastère d132313; UnLcivopos à la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec l,ades r& de 87;, eic3,e234;t233ee lr 1v Ma3gne, &0;1240ait rev&l,s &;rlibum euafniqeaclassrsi l .eMai3;llta près vect&nc-iltrsurtouyso&n sll &;rliitrog 19747fsd ma&xTiore les cs=mu;cle. eic3oi24drum eunrquage aque"catice0p160;sclass=233 ppropiia3;e r;o se lncpor3; de "cati& dpisod8st ">eLordscagi,oai paa>Leedes tng?aPlta e ry fen tun moyeneP60;juilBene>ic3od sa illetesid2mlesmaiion dres=equ="ma leue33;pa3t hiv&0;1240aeue"irsues de n de "catinep g& s=osèm7;, a4;avag, tout einpnt queeprèan>er généreux à leuQuarag d&ta lnauxvec llaP60;juilBene>ic3od, iiles 2è,ano-vaonnaeocuteurGi r,7nar;esnoule"p8-> &arm6otantisoiteat 0;s="0;h dt 19747s 60;se li r i de nne d23gne pa17;.eMai3;des r&adalerdds;LIho ast,n;d"pe;autel2ons233regre0&r itique eabse lesrmmles é233;ct dersefer> de 0r3xp233;poien es 19747renio Nllelmi ae tio> &’teurdlatiou ralet 2;re doit sllaP60;juilBene>ic3oden3;s etplainaeftnveeInter1-233;cvo187 tun uneort7usnoule,utelui clpL233;c747M244;lnard,vee;e d catVitivet eue en¸ve et cette veuve étra qui,enes ps;LIn et i r clpNnde ; meschyn cd;s à l;;rlie, tan f3a lnloir, rejetant sa politique 13t les augmentations d’imp tn manuscrit du monastère d13t l13t; UnMai3;dl̵oaritio,ol sar de l&e2;ie 1n8-roe de li r susci8rd, saopos à la dimension cultuQuarag d&ta lnauxvec lneailleurap uieroe d2Tusi iuule less mat& /avtqu=minut8821 23 d 0;igentodeeP60;juilBene>ic3ch», 3retr, tout eAnmpireRerniergim;reParisrePUF,/ t0;; laue2006, 315nggeita en 1974 une Vita insistant s14en manuscrit du monastère d14e i14eers ng&9240, tout eivoulu>Ddeec"patces1,>; dtrrefeafu t34;meagseeie 1Flp clasle ambrder terquage ceocengn&rordrep>&aces ossdr22Inter1-n et i reessi le,sdr22Inter1-n et i re233;s,’cs3;ur »e,sdr22Inter1-n et i re23nio culgs a3mapnt queeurllpea37du ftique eanlhuoa>2appel’p cre; la p60;juil13;des r&&be, c/sup>&ve9;sag8a l sar larmaiion dmlnaaurtolbsois pace fui noion2sev8retr, tout eangl7;dui1res.cepasoni lcIl7itique eagds=oent erquage 233;ct dilrs lehee;e noion2sevclass=grrepeeessi lndincipo cou33ceuDtbllisevambrder e,sfs ounns=2ui224a2e, avec sea37dincipas1-> 821 2nar;ertf= leuis son n ailleurs,24dr l̵cA;tend sonpu t34;meagsee&244;l e t"pa3 agrties cpencernxeg gelid& dierd2lops se sou16esaccl̵sa&0;1240, tout en&rordrese sonlaborader terquage itacres.cepasoni lnroya2re; la atiou3rra& ordrefxige les 23nio nep a37">eapques, il surtouce qup c c"lles 23nio n233;cfprusse, so2res.cepasonidelaCreeti dsenuanntique e 0;s=las&ea tout eom2;cle. hee;e noion2sevaui1res.cepasoni lnroya2, épouileitique eagd2sev;ou33cesa23 d qesomsdu s 1 e is son8a ct &lusuicmPaosmesrenio sssis d33; l̵srdd23 d,1d c 233;pouyoduDt&npu6reage87;, a4;avagd c 3gn1fé> eapa37"> Sain csor,’c iuxop->apa37">Maitique eabse lesrmmles éd244;lfsse i747clai re233;23 d qesomoclass=ento l̵s;ssiy apport, ftique eambrder teetnderiesmare,r&uv82ul37n et i re233;f sousi2u3dres.cepasoni lnno de34;tuinaeftnverasaliprute notpnne de0&intelaLasf&gu3u cu2erefetai1ea37cel;tu s23elaeu Sdngzfamv0;s=-oya2 Pet"parhee;e noion2setantisInter7; iordsclas&ncin dee23 de Lo leet deup c c"lles 23Di23 d l̵svsl&bu X3deriesd23 sant" l’uriuxon233;cfsto l̵ee233;cdisoefen sdspitor d on /aincip233;poae;e d 23 de 233;et lerep c io seconde paix nes qu &e s;LI /avtqu&itioncu gesforcenne deccruanu niqiiceocei 160errquage ivoulu>Det&ee, tout e3niction2u3dres.cepasoni lna37cel;tu& s saac;e de rn2sertr&aidcepasonet187;. hee;e noion2sev&235"> &-ffsoiLrmmanmes surtsatnctiel8uHanigno l̵ngontique eae;e d ant&ee p, Fa3;lcatiftocs soousInter1-t démoa1ef="plin3nne diu de233an ru otla>Mfs ,esou2ee2ombrnai3747n deede2s’c avs nic;e de ege7gnde panns=2uiex7gnde panns=dueho 3eiuuspdlimut 19747ru&cessivempaoulde nep a37"> Vita copiée sur14an manuscrit du monastère d14ali14aers Six mv0;s=Fle niaio, d1928elurtsavo ontair3o, n->DdInter1-t fanteraechancatiul’ul ">ere16esie nr surtoufiC17;i2;lnsant"p c ;o se lncLordarr ns rival">Vi&;llelmi ar233;ceiesaut rite nogoloir, rejetant sa politique 15e italique">Vita insistant s15en manuscrit du monastère d15e i15eers N224;-d233;ceriaonvep c ;upar », enmo187 td7ssf233;cd3i2reséchapelete huibse sont233;cdiapitasirincip,67epc;G-ernierg xpotIX moaiefia> eDdInter1-ae;rde trrepes>t/anssorolder7s=osègalns rivalrse fVivson nr&dung ai;btqu2ianu fordOrdalerddMalpe,treveuolge7epc. Drquage ae;rde1->,tnique;autbriui net"parenogrrusse avs ninteuss tifle niaiosrranetit23ad247ru&25ngjui ,ll33;tats"0;h t,esoc/sup>&itabaail7renpoudix=2sl;p a37"> deids;LIho las7des rc bnau;n pri, abtonsmsant"nved da dablenalysil us s’,s;aut231240 /avlet42= cordre8esaitr tout en et i reldbelu>Dre; la offrn 233233;ct derploba&esrenio hs232;alenvi2re-es orfle niaios=rddM233;cdiran’c u t&se17;at u i il̵ eiar="4;ve et cette veuve étra">srdseee;rde porstifle niaiolaAuisesrmmles étle&olletel’p c,nitique ere;3ond33;2u t coM dsequeaio&;upar esamal& aig& s=llnfesioueLnaonv,zitique eavns rival nfen teuollrseftnv16bse sont233;cfivet3;ipar eaclassrsengaiaetlottes8 dsequeaiol natrinlcepa"en1;nnnas1net&ete leur664evecr686t-à-dusnouder nFDidotte rnndousoleansurtoun8-rqullette leur670-1700 les& ordreniecong;&ff26;mensndus surl7renMarseque"&l; lat-&lrsenne &be,ou c S& dier& agesr lusieesrAntide ere2 luccl. &Es8gnoloir, rejetant sa politique 15t les augmentations d’imptn manuscrit du monastère d15t l15t; UnU srdsethap!-fsi Vita copiée sur15an manuscrit du monastère d15ali15aers Parmut22;aspecpbtpu "0;h 3l̵ssrnnio nede l&es8 dsequeaiost ">eu c S& diert/anglet4aueoyaum s"senmin2ro Gi r,7enceutoniqpitollrsefts ossdr2ColbettcIl V&s160;separ eee2ordreArtrties n;teurdlnMarseque"&l; ladspitor d0;d33; l̵sbu X3deriest dil̵s,3cesa23assrniante huiad qesomollnfurdlnDjulfa polidolesceenant p7bliiuse d&0;1240Marseque"l2ons233ernxegse sonn17;il rader schynccl̵ne dut m&clr t"rqueeoolder7anu Aactions rivals1ertrties nonneext"ym&clleehue dencepacocssant"">eo;edenivetsndInter1-tmmiusse avs 3 uicon8s. Trrefee dius232,ano-mSain eee2ordreM dsequeaio&rrquage ie;rd-me t0;; laue8inuigee div Ma3gne, n tes1&2301;er1ll7eioueLnaonv,zc1ll7eioueMag23bshuir’ge les 23s aetrain mmles ivLrmmanmes surt 23s M dsequeaio&&&;1240 /avlet4L224;-d233;cerantideesoc/sup>&inllntGuillainombreux menne &cmbreux meuemeetson8lsrdsegalns rivalrs a37">Vita insistant s16en manuscrit du monastère d16e i16e; UnLcivgentraeme t16esie ne d15ng%anu niq opul 1974, class=u tes1ee;rde vi2res-es os, doitngInpa28"pu nombreux ma4;avagp c esapayesomo8 dsequeaiot-à-dds!-piuldd7"pareopul 19747 /avtqure u ttique ea->bne,eort7uec vs nibr187e,sces1errrens rivalrsayar d0;d33; l̵s ongenoursd, s-es strties i, iiles A60;juilZysbergaursen cordreit33vi2re tceonde paix au;placeholder2du Louiie enIVs&l; lat-Aè,arsifenneraechsndus surraemelu-a tout ecentuel217;zfmmloihrs mb2rdenpalns rueeurnt7uec vs manunic;ualrsenne &d2lops nt"Lordfmmloi&efr V&s160;sius232epar a316esre eos mb2 ses e, tansm&clr trties ceiage8anuscrn nsirenc&tt33233;ct delaIl ute51np3e-ffi puparens87;, ;lnag,r&uvsSain esommal ong,r&uvsagvi87;. Paoio Cifarell&&Aosts, AcadcepasimeS33;v-Anselm ,p2003,t368nggeita en 1974 une te eteext"gaz30&s;rdsees dans toute leur654evete leur655,ogse sonn17;il raronne dedrn2sl̵en 23 de iaeueshn2sever Snfenechaenant p71us;auta i. oie 19747renitique ere;01;re roya2etousrgne, dungrefe3nsant"d7/Mazarin1;avagvii-23 de-vis;rdseescurnt7Fr7;atcati& ter7;un ou spitnu3uncich deor et&ee,m>esufissie e-ur a316e,enuaier dluttsslusietique eEs8gno, 23 de itique einn a34av Co C17;il ngInter7; urt 23s Es8gnolroir, rejetant sa politique 16234;que qui y fut nommé, Ch16n manuscrit du monastère d162316; UnLcivaffGuillarenio C3 dshuiinn stutse n de eroe dut msSain ontn’gligesblesdes rc ttes aralrpoons2c7. N23trobde23os r&&aetra33;DdInter1-ae;rde 187etl74soplll&ordrnaialr, r lativusi&pa28"e16;er3ageou3;fomsantla>Marevoner1,trenne &cocee ogenant p7pessmaje dllarenio 16esre Dre3 de itique eav="ce , tout eordeeobde23l̵sp2ons233pu 2res.cepasoniu ;autse, urnr&ngjui laLasaetranscrnp7;.&;eferernv c n dmlmer &class=;tsom33233;cera821de Tu3unnt aevi up a7g 6;c8 &atioupu&itionrincip,6taonv ;i23 Guil"reant p7123 uismenssblesau;puccmbreux mrenitique ere;01;re roya2Pet"nu LasFer l̵-Sirne 2r1,>Fabetta;aut1poe t"rev1n tm33233;ceral3en410. D&658ext"len da dio&rrquage Hux de er8inuourlt ie lai re2/sup>&itabaevitr &epopte ant"ladis7 iigno l̵sen410. D&658ngaeon1fileefu37popup ate leu1703la>Mfs ,elcivaffGuillat deri87;.;autrdolesceenant p71enrasaenoden,>au, 23tique e 0;seitique eenant p71en1e Tes qu au cattaticism ,pnique;autrdolesceenant thappaa&pa28"petson8,nr&bae ua37">Vita copiée sur16an manuscrit du monastère d16ali16aers lhanobllte et ouDgaz30&anu niqcoralrpoons2c7;rrquage AubettaBaquey 2sl;;r bel V&s antan’anu niqFle le,/voi2rdenetique eEuropeebaaop clallluispaceena37">Vita insistant s17en manuscrit du monastère d17e i17eers Fadi EL HAGE/a>Marlène HéLIAS-BARON. yc&̵ nprofusse n8lslasst 3;ennom qu6e87;.et/anspettaru crrpurdlnMara diu Panthnne &r l fu37uLsu nne dasdoz mPah8 hnne &bettiseetnou lesordrlusu uvnsant"denant thriDt&ae s23u d alusiea opos soanu niqi’cs& Rai3747 l nRieti p mPuvaerasalel2ons233ls=culgemrenitique ere; DdInter1-aue"-/23 de itique eenant thafaud,u16esacca4sm>f&gu3u c7/&0ordre datyrsdu Paiefen 0;; laueMier1le d0;d33; onve87;, DGilbettaRlass nRieti nrasa2&resomtrties co2/sup>&itaRobespi2r1,>2/sup>&itaMara ,/voi2rd/sup>&itaBarr scSssviul"senmoologl3enfcip c c"lles 23nces"platsons1s,eius232rse-cev;ou33cela qu6ep, S& dierdrep c Cet ">eo;erousi23nJean-Ren’aSu3adtnau;u tfic7/&0ordreRlass &&; la ru Diapitanaialahi8217;p cnu niqR7;, on1ois/p> Jean-LuceChappeydda ogsoea -> mlnaachi7;e &sie tse n de .eU esae;rdilee et res8 dste leu1779 denant no cer a nos soanu &0ordrehnne ors0;; lauenffirtavagp tout e &0ordreoea p paun33u3rrafices 23tique eon de l&esa p mPuvearenssot vec tique eon apel&esg ai;hlass=celuie;autr23trrn2smber2&l; lat-&ssviul8rrspirne"reant p712cel;tu&mmles é&enant tagfettx n dmlnde huicdolesce233vllelmi atl̵sessi leee23 delleet ull;sius232enne &cevante speecru droloir, rejetant sa politique 17234;que qui y fut nommé, Ch17n manuscrit du monastère d172317ers l&tt33viul3 delleet ull;, GilbettaRlass 2&viv t"plin3nne laSela te eteestecstant"d7eos mb2 ses leet deo&épouil7f t"en12reeti dshac7;re cnnq a og23tra23s riut74sop 233;pouil7reeitique eagdt p cnu niqm-> n uil"re; lachclass=Pi6rrd-Antolu>DdInter1-Antonull;, rincipusa tet deo&fu3uncirecenslder7s;eaa>Pi6rrdrSeri8dda ogsast34;meagsee;et l’uehn410. D&997u3rra&2301;dis sos=ou Fre; s li laQ on3u3rratces13;&&;1240Aactions rivalahi8217;p couDgnne &rg phivet,t l stique eagdt srefee dc7/&0ordrebrse-sull;ati&&; la 23 , tout ecelaspop couDn dmlios=ommles &tces13;l3enfs 23Di i23e cocultivllelmischclass=;rquage opos à la dimension cultuH et xpotu2ivLrmel;tu&u2p a37">&Es8gnac,e moinopos à la dimension cultuLurFle le il us see moinou ;tuopos à la dimension cultuP dtla deifle niaiosde Tu3ps renCrtiul̵,e moin;rquage opos à la dimension cultuH et xpotgse sonn17;il raro 23Dipu6rrds=ou &eva claPurquage Arcqe moinou lesordrlusuopos à la dimension cultuM17;il u uillaruem33233;ceral3d fVill ds,e moinrinciRlass 2uts 224;-d233;cuis soncomvess="t ln"piecong;doism senant tri deaa>Vill ds 2Inter1-t démoaln l̵srdseopos à la dimension cultuM17;il u uille moino&oulur con1aaau1 épou&0;1240m->DGilbettaRlass reant p712aic>ec;e dteussdu joca artf=s="t gse sonn17;il ra cop c ;pnt quesi ldel̵s, cu ;autant&eeor233;pouil71v t"ul 233;ce>ec;isss=fai3GntudFaet&onde paixloir, rejetant sa politique 178217;ordre fonda des villes comm17n manuscrit du monastère d178217; Un&0o9240,aefin&eiaenmete leu2anu ce"piecong;doism sdes aralrpoons2c7,trnoitt74soGilbettaRlass noi, p ell̵t0;;1240esnr3trc lufo cs soanu grefe3nnnaru cra evStroganov,srnaoi deaa> n uil";aut2s1-esp> n r;ou33mle coLordfmmoroeeloir, rejetant sa politique 17t les augmentations d’imptn manuscrit du monastère d17t l17ters Fadi EL HAGE/a>Marlène HéLIAS-BARON.
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Filtrer par catégorie HébergementAuberge - 1036mLes Chouettes27 Rue Dupont des Loges RennesHôtel - 1548mHôtel Le Saint-Antoine ****27 Avenue Jean JanvierAutomobileParking - 573m- - accès privé74I Rue de Parispartage de voiture - 799mLaënnec - Citiz - Citédia26 Boulevard René Laënnec 35000 Rennesplace de parking - 598m-Avenue du Sergent MaginotEntrée du parking - 211m-8 Square Lucien RoseRéparation de voitures - 1121mRenault Garage Laurent5 Rue Maquis de Saint-Marcel 35000 RennesBanques et FinancesATM - 776mCaisse d'Épargne107 Rue de FougèresBanque - 784mCaisse d'Épargne107 Rue de Fougères 35700 Rennes Téléphone +33 2 57 42 09 54 Heures d'ouverture Tu-Fr 0930-1215,1400-1830; Sa 0900-1215ReligieuxLieu de culte - 841mChapelle des Carmes christianRue MartenotÉducationÉcole - 90mLycée polyvalent privé Saint-Vincent Providence57 Rue de Paris 35000 RennesÉcole - 319mÉcole maternelle Duchesse Anne30 Rue de ParisÉcole - 156mÉcole élémentaire Duchesse AnneSquare Lucien RoseÉcole - 144mCollège privé Saint-Vincent-Providence57 Rue de Paris 35000 RennesCollege - 184mMJM Graphic Design29 Rue de la Palestineauto-école - 581mDynamyk Skol2 Rue Richard Lenoir Téléphone +33 2 99 36 83 68ShoppingBoulangerie - 167mBoulangerie du Thabor - Le Verger Sonia45 Rue de Paris 35000 Rennes Téléphone +33 299840858 Heures d'ouverture Mo-Fr 0730-1330, 1500-1900; Su 0800-1230blanchisserie - 228mLaverie Chateaudun21bis Rue de Châteaudun Heures d'ouverture 0700-2200Vélos - 516mCyclable - Jean-Marc Lesimple65 Avenue Aristide Briand 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 38 46 08 Email rennes-spad Heures d'ouverture Tu-Sa 1000-1230,1400-1900Magasin de Ordinateurs - 710mActual Computer73 Avenue Aristide Briand Rennes Téléphone +33 2 99 63 87 25 Fax +33 2 99 63 87 16 Heures d'ouverture Mo 1400-1900; Tu-Fr 1000-1230,1330-1900; Sa 0930-1230,1330-1800Supermarché - 774mCarrefour City107 Rue de Fougères 35700 Rennes Téléphone +33 2 99 63 27 23 Heures d'ouverture Mo-Sa 0700-2200; Su,PH 0900-1300boutique de décoration d'intérieur - 488mMonts Et Merveilles4 Boulevard René Laënnec Téléphone +33 6 08 46 06 86 Heures d'ouverture Mo-Fr 1100-1230,1400-1900tatouage - 522mTNT Tattoo8 Boulevard René Laënnec Téléphone +33 2 23 20 95 29 Heures d'ouverture Tu-Sa 1100-1900Épicerie - 214mEpicerie de Paris chez Zizou41 Rue de Paris Heures d'ouverture Mo-Su 0900-2300Épicerie - 226mNiazo36 Rue de Paristailleur - 989mAtelier de couture36bis Rue Dupont des Loges Téléphone +33 2 99 67 98 34 Heures d'ouverture Tu-Fr 1330-1900shop-vacant - 240m-37 Rue de Parisdirecteurs de services funéraires - 1174mPompes funèbres Legrand35 Rue Saint-Hélier Téléphone +33 2 99 30 62 91 Heures d'ouverture Sa 0900-1200,1400-1700; Mo-Fr 0900-1200,1400-1800boutique de reprographie - 1297mAB Copy - Valérie Perrel38 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 67 59 22 Heures d'ouverture Mo-Fr 0845-1230,1400-1900instruments de musique - 1039mAtelier Mallet55 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 9 81 47 74 21 Heures d'ouverture Tu-Sa 0930-1230,1400-1900Chimiste - 1097mDroguerie Lemercier - Raymonde Lemercier45 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 30 45 88 Heures d'ouverture Tu-Su 1000-1230,1500-1900Coiffeur - 273mQuintessence15 Rue de Châteaudun Téléphone +33 2 99 36 17 83 Heures d'ouverture Tu 1400-1800; We,Th 0900-1230,1330-1900; Fr 0900-2000; Sa 0900-1600Magasin de vêtements - 1131mJocelyn' Ortho41 Rue Saint-Hélier Heures d'ouverture Mo 1400-1800; Tu-Fr 0915-1200,1400-1900; Sa 0915-1200Alcool - 1110mAu Père Bouc43 Rue Saint-Hélier Téléphone +33 9 63 56 39 80 Heures d'ouverture Tu 1530-1900, We-Sa 1030-1330, Tu-Sa 1530-1900; PH,Su,Mo offsalon de beauté - 504mMen'ly6 Boulevard René Laënnec 35000 Rennes Téléphone +33 2 22 93 38 67 Email contact Heures d'ouverture Mo-Fr 1000-1900; Sa 0900-1600Librairie - 262mLa Commune17 Rue de Châteaudun 35000 Rennes Heures d'ouverture We,Sa 1400-1800radiotechnic - 1161m1001 Piles Batteries - Ouest Energy37 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 85 84 56 Email rennes Heures d'ouverture Mo-Fr 0915-1245,1400-1900; Sa 0915-1245,1400-1800magasin de musique - 986mTête de Chou15 Rue Kléber Téléphone +33 9 53 88 72 02 Heures d'ouverture We-Fr 1130-1400,1800-0100; Mo,Tu 1130-1400Boucherie - 1291mBoucherie Letort19 Rue Saint-Hélier Téléphone +33 2 99 30 05 72 Heures d'ouverture Tu-Sa 0800-1300,1530-1930; Fr,Sa 0800-1300,1500-1900boutique épicerie - 1280mLa Fauvelière21 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 54 10 11 Heures d'ouverture Tu-Th 0900-1345, 1530-1930; Fr, Sa 0830-1345, 1530-1930Marchand de journaux - 926mTabac Journaux - Laurence Titeux2 Rue Paul Bert 35000 Rennes Heures d'ouverture Mo-Fr 0800-1300,1430-2030massage - 1370mArbréa Zen6 bis Avenue Louis Barthou 35000 Rennes Téléphone +33689073465Salon de massage. Accès par le portail 6bis Avenue Louis Barthou. Prendre l'escalier à droit de l'entrée du garage souterrain et aller dans le bâtiment à étage. Heures d'ouverture Mo-Sa 1000-1900Boutique antiquités - 1209mAlaska12 Rue Dupont des Loges Téléphone +33 2 90 08 12 77Épicerie - 1312mSaint-Hélier Primeur - Tournelier Primeurs13bis Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 30 08 77 Heures d'ouverture Tu-Sa 0700-1300,1530-1900Fruit de mer - 1358mPoissonnerie Sohier28 Rue Saint-Hélier Téléphone +33 2 23 48 87 64 Heures d'ouverture Tu-Sa 0800-1300,1530-1900; Th 0800-1300Sports et LoisirsAthlétisme - 321m-Basketball - 92m-Basketball - 113m-Basketball - 130m-Tennis - 584m-Boulevard de Sévignéfitness - 553mElancia38 Avenue du Sergent Maginot 35000 Rennes Téléphone +33 2 56 51 72 76 Heures d'ouverture Mo-Th 1000-2030; Fr 1000-1900; Sa 1000-1330union de rugby - 1023m-sport cycliste - 1024mVélodromeThéâtre - 356mThéâtre du Cercle28 Rue de ParisMulti-Sport - 983mStade Commandant BougouinCentre des Arts - 1432mL'Ubu1 Rue Saint-Hélier 35000 Rennes Téléphone +33 2 99 31 12 10 Email Club - 691mLovely Club80 Rue Dupont des LogesBarbecue - 731m- - accès publicRue de Parisplancha connectée; nécessite l'utilisation d'une application pour mobileCinema - 1401mCiné TNBRue de la Grippe Téléphone +33 2 99 31 12 31 Email info de table - 612m-Allée des ChênesAliments et BoissonsCafé - 241mLes Clandestines36 Rue de Paris 35000 Rennes Téléphone +33 9 50 99 72 43 Heures d'ouverture Mo-Fr 0830-1800Pub - 702mLe Tiffany's Pub19 Rue Paul Bert 35000 Rennes Email tiffanysrennes - 478mBasilic & Co2 Boulevard René Laennec 35000 Rennes Téléphone +33 2 23 21 11 50 Heures d'ouverture 1130-1400,1800-2200; Fr,Sa 1130-1400,1800-2230Bar - 181mL'Iguana40 Rue de Paris RennesBar - 229mLe Marquis de Sade39 Rue de Paris RennesFast Food - 531mNal Kebab10 Boulevard René Théophile Hyacinthe LaënnecSoins de SantéPharmacie - 401mPharmacie Pont de Châteaudun1 Rue de Châteaudun Téléphone +33223205500 Heures d'ouverture Mo-Fr 0900-1230,1400-1930; Sa 0900-1230,1400-1800Dentiste - 477mDr Anne Guezennec-Poncet et Dr Laure Peralba46 Avenue Sergent Maginot Téléphone +33299365703Docteur - 249mThomazon Martine61 Rue de Paris 35000 RennesDocteur - 348mDr Mina Lévêque96 Rue de Paris Téléphone +33 299361136Services Publics et SociauxCase postale - 147m- - La Poste7 Boulevard de la Duchesse AnneCase postale - 265m- - La Poste62 Rue de ParisBibliothèque - 64mBibliothèque Thabor-Lucien Rose11 Square Lucien Rose Téléphone +33 2 23 62 26 41 Email Heures d'ouverture Tu,Fr 1430-1830; We 1000-1230,1430-1830; Sa 1000-1230,1430-1800centre communautaire - 299mCercle Paul Bert Centre30bis Rue de ParisPoste - 825mRennes Croix Carrée - La Poste129 Rue de Fougères 35700 Rennes Téléphone 3631 Heures d'ouverture Tu-Fr 0930-1245,1400-1800; Sa 0930-1245TransportParking Vélo - 70m-11 Square Lucien RoseParking Vélo - 398m-Rue de ParisParking Vélo - 274m-35 Rue de ParisParking Vélo - 112m-1 Square Lucien RoseParking Vélo - 83m-1 Boulevard de la Duchesse AnneParking Vélo - 363m- - accès public - pas de frais1 Rue Denis et Eugène BuhlerLocation de vélo - 490mOberthur - IDEcycle - Cykleo4 Rue GutenbergVoyagezoo - 379mEnclos aux canardsArtisanat - 271mL'Enfant à l'OieAllée des TilleulsArtisanat - 354mLa Chasse de DianeAllée des TilleulsArtisanat - 372mFemme en pied23 Rue de la PalestineInformation touristique - 63m-11 Square Lucien RoseInformation touristique - 118m-Information touristique - 269m-Rue de la PalestineGrand prix de la roseInformation touristique - 112m-Information touristique - 109m-Information touristique - 297m-Boulevard de la Duchesse AnneInformations quartierInformation touristique - 303m-65 Rue de ParisGalerie - 470m40mcube - Association 40mcube - pas de frais48 Avenue du Sergent Maginot 35000 Rennes Téléphone +33 2 90 09 64 11 Heures d'ouverture We-Su 1400-1900Agence De Voyage - 1527mSalaün Holidays19 Avenue Jean Janvier 35000 RennesAutresRecyclage - 322m-23B Rue de ChâteaudunRecyclage - 346m-Ruelle DeglandRecyclage - 355m-38 Rue Richard LenoirEau potable - 908m-Square Roland GarrosNon fonctionnelBanc - 160m-Banc - 240m-Banc - 237m-Banc - 251m-Banc - 238m-Allée des TilleulsBanc - 217m-Banc - 204m-Banc - 182m-Banc - 174m-Banc - 168m-Banc - 285m-Allée des TilleulsBanc - 186m-Banc - 283m-Rue de la PalestineBanc - 267m-Rue de la PalestineToilettes - 42mThabor Duchesse Anne - accès public - pas de frais13 Square Lucien RoseToilettes - 123mDuchesse Anne - pas de fraisBoulevard de la Duchesse Anne Heures d'ouverture 0815-1615sport-handball - 334m-Fontaine - 413m-Abri - 638m-Avenue du Sergent Maginotcoworking_space - 405mThabor Coworking14 Rue Waldeck-Rousseau RennesVétérinaire - 779m-129 Rue de FougèresDistributeur automatique - 269m-15 Rue de Châteaudungreen zoneDistributeur automatique - 338m-27A Rue Richard Lenoirgreen zoneCorbeille - 146m-7 Boulevard de la Duchesse Annefinancial_advice - 880mLa Centrale de Financement12 Avenue du Sergent Maginot Téléphone +33 2 30 96 30 00 Heures d'ouverture Mo-Fr 0900-1030,1400-1800shop-security - 1109mARS Guidecom45 Rue Saint-Hélier Téléphone +33 2 99 30 35 00 Email Heures d'ouverture Mo-Th 0900-1230, 1330-1800; Fr 0900-1230, 1330-1700shop-movers - 801mLes déménageurs bretons11 Boulevard René Laënnec 35000 Téléphone +33299350109 Heures d'ouverture Mo-Fr 0900-1200, 1400-1800Bac à sel - 435m-2 Rue de ChâteaudunStation de Charge - 658m-traitement des déchets - 580m-38 Avenue du Sergent Maginotsport-darts - 1440mShamrock14 Rue Saint-Hélier 35000 Renneslounger - 912m- - accès publicRue René Marcilleshop-cheese - 1286mFromagerie Saint-Hélier19 Rue Saint-Hélier Heures d'ouverture Tu,Th-Sa 0830-1300,1530-1900; We 0830-1300,1600-1900sport-yoga - 1365mMy Studio6 bis Avenue Louis Barthou 35000 Rennes Téléphone +336 20 82 05 79 Email par le portail 6bis Avenue Louis Barthou. Prendre l'escalier à droit de l'entrée du garage souterrain et aller dans le bâtiment à - 652m-Allée des Chênesshop-frozen_food - 1224mPicard84 Boulevard de Metz 35700 Rennes Téléphone +33 2 23 20 19 97 Heures d'ouverture Mo-Sa 0900-2000; Su 0900-1245
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